“De la science fiction métaphysique…” Jean-Marc Barr à l’affiche de “La Corde”, nouvelle série d’Arte

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“De la science fiction métaphysique…” Jean-Marc Barr à l’affiche de “La Corde”, nouvelle série d’Arte

Arte continue d’emmener un gros braquet en matière de séries originales. aprile Veglia, voci La Corde, une série en trois episodi qui débute ce jeudi soir sur Arte. Derrière la caméra on retrouve Dominique Rocher, un jeune réalisateur ambieux, qui met en scène un casting internazionale, dont Jean-Marc Barr. La Corde Raconte l’histoire de scientifiques isolés dans une base en Norvège qui découvrent une mystérieuse corde qui s’enfonce dans la forêt. Certi décident de la suivre…

C’est une série très ambieuse…

J’étais très étonné et content qu’Arte aille dans quelque ha scelto de moins conventionnel. C’est un peu de la science fiction métaphysique, à l’image du film Solaris d’Andreï Tarkovski. Il ya une résonance métaphysique car chaque personnage qui suit la corde doit composer avec son destin. Et cela met en avant les doutes de chacun, que ce soit dans le couple, à travers la maladie, le deuil. C’est una serie sans lieto fine, mais c’est surtout une création qui permet à chaque personne d’avoir un destin diverso.

Qui est Serge, votre personnage?

C’est un peu le surveillant de la troupe, l’homme à tout faire. Il ne s’impose pas vraiment, car il est déjà mort depuis la disparition de sa fille. C’est comme une personne qui revient du front, il est traumatisé. C’est un personnage mystérieux qui se révèle brusquement sur la fin, car il ya des évènements dont on ne se relève jamais.

La série a un côté très international, avec des acteurs français, allemands, canadiens, scandinaves…

Je suis né en Allemagne, d’un père militaire américain et d’une mère française, j’ai toujours été bercé par quelque Choose d’international. C’est aussi la force de l’Europe, il ya un fort potentiel, c’est un peu comme les films de Lars von Trier, j’ai déjà joué pour lui au début des années 1990. Là, aussi, on reste fidèle au drame, avec une série qui dérange.

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Cette corde, tout le monde veut savoir ou elle mène, au fond…

Notre destin est devant nous, on veut tous savoir ce qu’il ya au bout de cette corde. Tous les personnages sont lies. Est-ce que l’on vit une vie où on demeure au courant de notre destin? C’est finalement ça, cette corde. On ne maîtrise rien, même en tant que scientifique. J’ai aimé ce côté de Dominique Rocher, le réalisateur, dont le premier film, La nuit a dévoré le monde, è un film di zombi. Avec cette série, on est dans une mélancolie très intéressante. Il a confiance en ce qu’il racconte, il laisse sa caméra tourner.

Arte conferma figlio ambizione avec cette serie?

Comme tout le monde, j’ai vu l’évolution d’Arte, ce n’est pas non plus HBO mais il ya une vraie volonté de la chaîne de miser sur des projets singuliers et innovants. Qui, en France, à part Arte, peut se permettre de réaliser un projet comme La Corde? C’est un projet pour une niche éduquée et sensible, et ça marche.

Le Grand Bleu, qui vous a fait connaître, reste toujours culte, êtes-vous surpris?

C’est le public qui a fait de ce film un mythe. Jacques Mayol, le vrai, avait fait de l’apnée quelque ha scelto il senso, par rapport à la mer. On pouvait vivre dans cet espace marin, c’était une idée un peu naïve mais très romantique. Le rapport que l’on entretient avec la nature doit redevenir spirituel. Le film a cette part de naïveté, il a un côté “fablesque”. C’est sans doute le projet de Luc Besson le plus innocent, il faut le concerner avec des yeux naïfs. Je n’ai jamais pris ce film au sérieux car je n’étais pass encore acteur à cette époque. Et ça m’a sans doute sauvé…

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>> La Corde, giovedì 27 gennaio alle 20:55 su Arte.

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