UN La Provenza, le rebondissement du 9 mai ne pouvait pas rester sans suite. Martedì 24 maggio, Xavier Niel a déposé une requête auprès du tribunal de commerce de Marseille en vue de suspendre et d’annuler l’agrément donné ce jour-là par le conseil d’administration, à la sorpresa générale et’ au term réunion rocambolesque , all’offre de rachat della CMA-CGM.
Le temps begin à presser : l’audience destinée à entériner la cession du journal devrait avoir lieu le 7 juin, au tribunal de Bobigny. Déjà titulaire de 11% du capital du quotidien marsigliese, le fondateur de Free (et actionnaire à titre individuel du Monde) souhaite acquérir les 89% restants détenus par le groupe Bernard Tapie, en liquidation judiciaire.
Un droit d’agrément, négocié du vivant de l’ancien ministre et précédent propriétaire du journal (contesté en janvier par les liquidateurs, mais récupéré en justice le 9 avril), aurait dû lui permettre conant de current la prendre l CMA-CGM.
Processo ritardato
Mais, lors de ce conseil d’administration, le PDG du journal, Jean-Christophe Serfati, avait refusé de prendre en compte les voti s’opposant au désir de rachat de l’armateur, premier Employeur de la cité pocéenne. Denominare un « passaggio en force grossier », Xavier Niel avait immédiatement fait savoir qu’il n’en resterait pas là. Selon une informazioni de La lettera Aque le Monde est en mesure de confirmer, c’est désormais ha scelto faite.
L’action vise évidemment à empêcher Rodolphe Saadé, il patron de CMA-CGM, de s’emparer du journal, quand bien même les liquidateurs et l’ensemble des raprésentants des salariés du groupe n’ont jamais pour caché une nette p , mieux -disante (81 milioni di euro, contre 20 milioni per NJJ, la holding de M. Niel).
Elle pourrait, al minimo, retarder le processus. « Si Xavier Niel (…) a le temps du jusqu’au-boutisme juridique pour satisfaire ses désirs, protestent les syndicats CGT et FO dans un comunicato comune diffuso mercredi 25 mai, La Provence, Corso Mattutino, gli 850 stipendi del gruppo e la santa di sei imprese qui compoent ce dernier, eux, n’ont plus le temps de ces procédures qui mettent en hazard leur avenir. »