sabato, Novembre 23, 2024

Crise en Ukraine : Poutine ne veut “bien sûr” pas d’une guerre, la France “attend des actes”… le point sur la situation

Entre la Russie et l’Occident, la situazione sulla questione ucraina est toujours aussi tendue. Mais, au-delà des déclarations fracassantes – Jean-Yves Le Drian an estimé, ce lundique “tous les éléments” pour une “offensive (militaire) forte” de la Russie étaient réunis – la tentative d’un reglement diplomatique perdure.

Ce mardi, le nouveau chancelier allemand, Olaf Scholz, s’est rendu à Moscou pour poursuivre l’entreprise entamée depuis plusieurs semaines déjà. Avant meme sa rencontre avec Vladimir Poutine, la Russia e annonce le retrait d’une partie de ses troupes. Les effort diplomatiques pour éviter un conflit sont « loin d’être épuisés », a commenté le dirigeant allemand.

La Russie annonce un début de retrait

Signe d’une amorce de désescalade, le ministre russe de la Défense avait annoncé, dès ce lundi, la fin de certees manovre militari qui ont actuellement lieu aux frontières russo-ukrainiennes et en Biélorussie. Ce mardi matin, le gouvernement russe a fait savoir, qu’une partie des force déployées près de la frontière retournaient effect à leurs garnisons.

« Les unités des districts militaires du sud et de l’Ouest qui ont achevé leurs tâches, on déjà commencé à procéder au chargement sur les moyens de transport ferroviaires et routiers et portront à ‘returijé versé garnis» -parole du ministère, Igor Konachenkov, cité par les agences de presse russes. Une informazioni confermate quelques heures après par le Kremlin. « Nous avons toujours dit qu’après l’achèvement des exercices, (…) les troupes retourneront dans leurs garnisons d’origine. C’est ce qui se passe là, c’est le processus habituel », a déclaré aux giornalisti le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.

De son côté, la France est en train « de se faire confirmer ces informations » et reste donc « prudente », a commenté Gabriel Attal ce mardi midi, à la sortie du Conseil des ministres. Mais si ce début de retrait est avéré, « c’est un signal positif, ce serait un signe de désescalade ». «Les paroles, c’est bien. Nous attendons les actes. Si les actes sont là, ce sera encore mieux », a d’ailleurs lancé lo chef de la diplomatie Française, Jean-Yves Le Drian, à l’Assemblée nationale.

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Un avis qui n’est pas tout à fait partagé di Boris Johnson. Le Premier ministre britannique juge que les renseignements arrivés ce mardi ne sont « toujours pas incoraggianti » concernant une désescalade, notamment en raison des «groupes tactiques de bataillons se rapprochant de la frontière». Cette annonce doit être « suivie de faits, car nous avons besoin de confiance, nous avons besoin de sécurité pour tous les citoyens ici, chez nous en Europe » a égallement nuancé la ministre allemande des Affaires, étrangè

L’espoir de la diplomatie

Si le porte-parole du Pentagone, John Kirby, avait estimé ce lundi qu’une “action militaire pourrait intervenir n’importe quand”, les espoirs que les discussioni aboutissent demorent. « Il reste une opportunité cruciale per la diplomatie », oltre ad esempio l’anima del Premier ministre britannico, Boris Johnson, e il presidente americano, Joe Biden, qui se sont entretenus par téléphone lundi. Ce mardi, la ministre britannique des Affaires étrangères Liz Truss, un fatto savoir qu’il restait « du temps (…) pour Vladimir Poutine pour s’éloigner du précipice, mais il ne lui reste qu’un temps limité pour le faire».

« Il ya toujours une chance », a lui aussi déclaré le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov, risponde a una domanda di Vladimir Poutine, selon des images Diffusées à la télévision. « Nos possibilités sont loin d’être épuisées », a poursuivi le ministre, proposant même de « prolonger et d’élargir » le dialog. Sergueï Lavrov s’est d’ailleurs entretenu par téléphone avec Antony Blinken dans la journée de mardi. Dans le même temps, il presidente Emmanuel Macron s’entretiendra avec son homologue américain Joe Biden.

L’ottimismo dell’Ucraina

Les annonces russes de ce mardi ont rendu l’Ucraina optimiste. « Ensemble avec nos partenaires, nous avons réussi à empêcher toute nouvelle escalade de la part de la Russie », un déclaré, ce mardi le chef de la diplomatie ukrainienne, Dmytro Kouleba. S’il a reconnu une situation toujours « tendue », le ministre des Affaires étrangères an estimé qu’elle était cependant « sous contrôle », tout en ajoutant qu’il était prématuré d’officialiser la baisse des tensions.

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« La Russie fait tout le temps toutes sortes de déclarations, voilà pourquoi nous avons une règle : on croira à une désescalade quand on aura vu le retrait » des troupes, at-il ajouté. Ce mardi à la mi-journée, le secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg, a lui aussi fait part de son “optimisme prudent” tout en précisant qu’un signe de désescalade n’était encore visibile sul le.

Olaf Scholz a Mosca

Le chancelier allemand est arrivé à Moscou ce mardi, pour rencontrer Vladimir Poutine. Le ma degli sforzi diplomatici in corso per la crisi dell’auto dell’Ucraina est « d’aboutir à une entente politique sans que personne n’ait à abandonner ses principes dans le processus », at-il déclaré lors d’une de conf premere. De son côté, le chef d’Etat russe a voulu rassurer. « Voulons-nous (d’une guerre) ou pas ? Bien sûr que non. C’est pour cela qu’on an avancé nos propositions pour un processus de négociations», at-il garanti face aux giornalisti.

La vela, Olaf Scholz s’était rendu a Kiev, à la rencontre di Volodymyr Zelensky. Comme Emmanuel Macron avant luiil rifiuto di se stessi in un test anti-Covid russe in arrivo per le entrate con Vladimir Poutine, optant pour un prélèvement supervisionato per Berlino.

L’Allemagne, qui se voyait reprocher par les Occidentaux d’être trop tendre avec la Russie pour des raisons économiques, cominciate a durare. Avant même la rencontre d’Olaf Scholz con Vladimir Poutine, la ministre allemande des affaires étrangères, Annalena Baerbock, un’esortazione la Russie à «ritirer ses troupes» della frontiera. « La situazione est particulièrement dangereuse et peut dégénérer à tout moment » et « nous devons utiliser toutes les opportunités de dialog pour atteindre une solution pacifique », at-elle poursuivi dans un communiqué, la ajoutire s une de edé dé ausiliari: « côté de la Russie».

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Demande inquiétante du Parlement russe

En parallèle de l’annonce du retrait de certees troupes russes insi que des discussioni diplomatiche, les députés russes on fait, ce mardi, une demande qui va à l’inverse du processus de pays. La Douma a voté, en séance plénière, un testo ricorrente Vladimir Poutine à reconnaître l’indépendance des territoires séparatistes prorusses qui se trouvent dans l’Est de l’Ucraina.

Si cette demande était acceptée, elle marquerait la fin du processus de paix, marqué par gli accordis de Minsk, signés sous médiation franco-allemande, prévoyant à terme le retour de ces territoires sous le contrôle de Kiev.

Selon une source à l’Élysée, Vladimir Poutine an assuré à Emmanuel Macron qu’il n’approuvait pas cette Initiative parlementaire. Mais la France resta tout de même vigilante sur la question. L’UE a quant à elle « ferment » condamné la démarche de la Douma.

Bientôt une aiutante dell’Europa

L’Union Européenne pourrait égallement apporter une nouvelle aide financière à l’Ucraina. Ce mardi matin, les eurodéputés se sont mis d’accord mardi pour voter en urgence un nouveau soutien finanziere d’un montant de 1,2 miliardi di euro, sous la forme d’un prêt sur 12 mois alloué en deux tranches. Un second vote, devant entériner cette proposition, doit encore intervenir au cours de la session plénière qui se déroule à Strasbourg jusqu’à jeudi, a précisé une porte-parole du Parlement Europeen.

Selon la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, l’UE et ses Institutions financières ont déjà mobilisé « 17 miliardi di euro in sovvenzioni et en prêts » per l’Ucraina depuis l’annexion par Moscoeu de la 2014 .

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