Covid19. Pourquoi le nombre de réinfections explose en France ? On vous aid à y voir plus clair

« J’ai eu le Covid-19 le 5 mars 2022, est-ce que je peux l’attraper une seconde fois aussitôt ? » Cette question nous est posée par Brigitte. Ouest-Francia vous repond.

Depuis dicembre 2021 e la diffusione della variante Omicron in Francia, la frequenza delle reinfezioni possibili per il Covid-19 una rete aumentata. Si le risque de réinfection était déjà presente avant la vague Omicron de façon assez rare, les premiers cas de réinfection ayant été signalés de la fin de l’été 2020, « on sait que pour determinate personnes la protection conférée par la maladie n’est pas parfaite, pas complète et donc on peut être malade une seconde fois avec des symptômes plus modeses que la première », explique Matthieu Revest, infectiologue au CHU de Rennes (Ille-et-Vilaine).

Après une courte stabilization debutto gennaio 2022 selon les dernières données disponibles publiées vendridi 1^ehm aprile par Santé Publique Francia.

I casi possibili di reinfezione sono definiti come l’ensemble des personnes ayant présenté au moins deux test positivi registrati dans la base de données effectués a 60 giorni d’intervalle o più. Le délai entre les deux episodi d’infection était de 242 jours en moyenne, aprécisé l’agence de santé lors de son dernier point presse hebdomadaire.

Une réinfection au bout d’un mois, est-ce possibile?

Contacté, Yannick Simonin, virologiste et enseignant chercheur à l’université de Montpellier (Hérault), nous répond que « des études montrent notamment que chez les personnes infectées par le variant Omicron mais non-vaccinées, l’immunité apparaît faible contre les différents variants et qu’elle baisse assez rapidement au cours du temps ».

Le variant Omicron a tendence à induire des forme moins graves de la maladie mais d’avantage de réinfection. In pratica, « certees personnes qui ont récemment contracté Omicron (le sous-variant BA.1 principalement) peuvent être réinfectées un à deux mois plus tard, notamment par le sous-variant BA.2, désormais majoritaire en France, poursuit le specializzazioni dei virus emergenti. Si une réinfection au bout d’un mois n’est pas le plus probable, elle n’est donc pas impossibili suivant notamment votre statut vaccinal et si vous avez été infectés initialement par le sous variant BA.1 ou BA.2. »

Commenta expliquer ce phénomène de réinfection ?

En tout, 685 858 cas possibles de réinfection ont été identifiés entre le 2 mars 2021 et le 20 mars 2022, dont 95,2% depuis le 6 dicembre 2021, qui marque le début de la diffusion du variant Omicron en France, rapporte l’ agence de santé dans son dernier comunicato hebdomadaire. « Il semble vraisemblable que l’attenuation de la réponse immunitaire post-infectieuse ou post-vaccinale au sein de la population française joue un rôle dans cette nette augmentation de la fréquence des cas possibles de réinfections eu’ notantamment de dose de rappel du vaccin » , Indique Santé Publique Francia. Et d’ajouter qu’« il est égallement très probable que la très forte diffusion en France du variant Omicron, caractérisé par une transmissibilité accrue et un échappement immunitaire importante, amplifie ce phénomène ».

88% dei casi possibili di reinfezione per risultati di cribbage è disponibile e interpretabile per l’episodio di reinfezione avaient d’ailleurs un risultato votante d’Omicronselon les dernières données disponibiles sur les réinfections possibles par la SARS-CoV-2 in part de la base de données SI-DEP.

La ripresa della circolazione del coronavirus observée depuis plusieurs semaines en France et l’émergence du sous-lignage d’Omicron BA.2, majoritaire depuis fin février 2022, sont « deux facteurs pouvant jouer un rôle dans la tendance actuelle à l’augmentation du nombre de réinfections »selon Santé publique Francia.

Lire italiane: Cas de grippe en hausse : notre système immunitaire s’est-il endormi pendant ces deux années Covid ?

Une répartition des cas possibles de réinfection par région et par class d’âge

Quid de la répartition regionale dei casi possibili de reinfezione détectés dans la base SI-DEP tra il 2 marzo 2021 e il 20 marzo 2022 ? « Des cas possibles de réinfection ont été détectés dans l’ensemble des régions françaises, avec des différences pouvant être importantes entre les régions en termes d’effectifs et de proportione des réinfections possibili conferma au ble des parmis de Covid-19′ de la période studio», preciso l’agenzia di santità. Si en Bretagne su stima à 2,6% la proporzione dei casi possibili di réinfection sur l’ensemble des casi confermati, la regione Provenza-Alpi-Costa Azzurra atteint una proporzione del 5,5%.

Santé publique France note aussi une fréquence plus importante de réinfection chez les adult âgés de 18 à 40 ans avec une ratio de 50% des cas possibles que parmi l’ensemble des cas confirmés de COVID-19 détectés dans SI-DEP la au cours période d’étude. À l’inverse, 1.5% des cas possibles de réinfection sont âgés de 80 ans et plus.

La faute à Omicron?

Plusieurs études récentes ont mis en évidence la possibilité de survenue d’une réinfection par le sous-variant d’Omicron, BA.2, dopo un’infezione par le sous-variant BA.1, e compris dans un délai courti in trè 60 ore ). Cependant, elles se rejoignent sur le fait qu’il s’agit vraisemblablement d’événements rares. En outre, la frequence des réinfections avec un résultat évocateur d’Omicron lors des deux épisodes d’infections reste très minoritaire (moins de 1% des cas), comme le montre le graphique ci-dessous.

« On estime que la réinfection avec Omicron est environ cinq fois plus élevée qu’avec d’autres varianti, come delta per esempio. L’infection seule, sans vaccination, ne semble donc pas conférer une immunité suffisamment stable dans le temps pour éviter totalement les réinfections », dettaglio del virologo Yannick Simonin.

Lire italiane: Covid19. Se dirige-t-on vers une vaccination annuelle contre le virus ?

I limiti dello studio

Attenzione toutefois, Santé Publique France reconnaît quelques limiti dans cette étude à prendre en compte dans l’interprétation que nous en faisons. D’bord, « l’analyse de la base n’a pu être faite qu’à partir du 1er janvier 2021 (…) empêchant l’identification des réinfections survenues à partir du 1er janvier 2021 après un premier épisode de Covid-19 au cours de l’annee 2020 ». Cela conduit donc à une sous-stima de la frequence des réinfections.

De la me maniere, « le fait qu’il ne soit pas possible de recueillir d’information clinique (par es., assenza dei sintomi di Covid-19 tra i due episodi), virologique (charge virale et séquençage) ou épidémiologique’ exposition que notion précédant le test positivo) dans SI-DEP limite cette analizzare aux cas possibles de réinfection ».

Enfin, selon les critères retenus de cette analyse, il ya notamment celui de la réinfection Prize en compte si elle intervient dans un délai minimo di 60 giorni tra i due episodi di contaminazione. Toute réinfection qui pourrait survenir dans un délai inférieur n’est donc pas comptabilisée dans cette étude. « Néanmoins nous ne disposons pas, à ce stade, d’éléments indiquant que la survenue d’une réinfection par le SARS-CoV-2 moins de 60 jours après une primo-infection soit un phénomène fréquent, ni fait de que les prendre en compte dans le cadre de cette analizzare puisse avoir un impact notable sur l’interprétation que nous faisons de ces données en termes de fréquence ou de tendance », concludere l’agenzia di santità.