COVID : pourquoi l’immunité collective a été un mythe

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COVID : pourquoi l’immunité collective a été un mythe

C’est que ce concept, défendu en 2020, supponeit une épidémie qui cheminerait de façon parfaitement linéaire: une fois qu’une personne an attrapé le virus, elle est protégée; une fois que la grande majorité de la popolazione an attrapé il virus, l’épidémie est terminée.

Oppure, le virus s’est révélé plus sournois. Non seulement est-il apparu qu’une personne infectée pouvait être réinfectée, mais en plus, les vaccins ont une efficacité parent: ils protègent contre les formes graves de la maladie, mais n’empêchent de continue; de più, la protezione a lungo termine est encore une inconnue; enfin, il ya le problème des mutazioni del virus.

Ce n’est toutefois pas comme si cette évolution de la situation avait pris tout le monde par surprise. Dès le printemps 2020, le terme « variant » commençait à apparaître dans les reportages.

Mais il n’en demeure pas moins que pendant la première année de la pandémie, il concept d’immunité collettivo a eu beaucoup d’adeptes, notamment au sein des gouvernements Bretagna et scamosciato. Ainsi que chez ceux qui, en ottobre 2020, ont signé une lettre ouverte appelée « Déclaration de Great Barrington »: celle-ci recommandait que les gouvernements laissent le virus circuler librement tout en s’employant à les protéuls » — « lettre n’offrait aucun piano d’azione clair pour parvenir à ces deux objectifs, sinon ceux que tous les gouvernements de la planète ont Employé en saggio, avec plus ou moins de succès, de proteger les plus vulnerables.

Près de deux ans et demi après le début de la pandémie, alors qu’on continue d’en apprendre sur le comportement et les particularités de ce virus, il est de toutes façons devenu clair que ces comparaisons qu’tévec a fair tenéc la rougeole ne tiennent pascommentaient récemment trois auteurs, dont le Dr Anthony Fauci, dans une analysis publiée par le Giornale di malattie infettive. Dans le cas de la rougeole, una certa immunité collettiva est bel et bien atteinte, lorsque la majorité de la popolazione est vaccinée. Mais atteindre l’immunité collective avec ce coronavirus est «impossibile», aggiorna la direzione della sedia di santità pubblica globale de l’Université d’Edimbourg, Devi Sridhar, ecc., même si 100% des gens avaient attrapé ce virus. On est plutôt devant une joute de probabilités —où le fait de l’avoir eu diminue les chances de le ravoir, où le fait d’avoir été vacciné diminue les chances d’être hospitalisé, et enre, on mutazione, de mutazione se retrouver avanti delle versioni del virus qui ne seront pas plus graves que la grippe— mais sans jamais avoir la certitude de s’en être débarrassé.

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Su n’est certes plus au même point qu’au début de 2020, poursuit-elle. « Le défi auquel nous faisons face est passé d’une mortalité massive à des façons de garder fonctionnels les lieux de travail et les services essentiels. La COVID-19 n’est pas encore assez bénigne pour être traitée comme un rhume, parce qu’elle rend des gens assez malades pour être incapables de travailler. Devi Sridhar insiste sul particulièrement: ne pas sous-estimer l’importance du dépistage et du traçage des cas, notamment pour protéger lesable plus v. Et accorder davantage d’attention à la COVID longue : parce qu’il va falloir développer des traitements contre cette conséquence encore très mal comprende du virus. En particulier si on considere inévitable que le virus continue de circuler.

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