Une étude internationale s’est penchée sur les rares cas de personnes qui ont été vaccinées contro la SARS-CoV-2 et qui ont développé une forme grave de la maladie. Chez Certains de ces pazienti, il a été observé une défaillance immunitaire.
C’est sans doute l’objectif principal des campagnes de vaccination qui sont aujourd’hui menées contre le Covid-19: proteger contre les shapes graves de la maladie. Durant cette pandémie, certees personnes qui ont complété leur schéma vaccinal ont malheureusement subi un déficit immunitaire. Commento est-ce possibile?
Una lire aussi:
7e vague de Covid-19: quelles sont les prévisions de l’Institut Pasteur pour les prochains jours?
Une étude internationale, publiée en juin dernier, porre la domanda. Publiée dans la rivista Immunologia scientifica et pilotée par une équipe française de chercheurs, cette étude s’est intéressée de près à 48 cas de form graves de la maladie chez des personnes qui ont complété leur schéma vaccinal. L’Inserm, l’université Paris Cité e l’Institut Imagine ont recruté des Patients Venant de Grèce, de France, de Turquie, de Macédoine, d’Ukraine, et des États-Unis. Su compte ici 34 hommes et 14 femmes, âgés de 20 à 86 ans. Ces derniers, tous vaccinés contre le virus, ont été infectés par le variant Delta du Covid-19. Tous ont égallement été admis en soins intensifica l’infezione après leur.
La pista dell’auto-anticorps
Pour comprendre comment ces Patients ont développé une form grave de la maladie, les chercheurs ont d’abord voulu savoir si le vaccin avait permis à ces personnes de susciter une réaction immunitaire. L’oggetto: s’assurer que le vaccin avait correctement fonctionné chez ces pazienti. Sei pazienti ont écartés de cette étude et pour cause : la vaccination n’avait pas permis de leur procurer d’anticorps neutralisant.
Una lire aussi:
Vacanze e Covid-19 : Spagna, Portogallo, Italia, Grecia… quelle est la situazione sanitaria dans votre destination d’été ?
Chez les 42 Patients Restants, les chercheurs ont en revanche constaté d’un anticorps qui prend pour cible certees molécules de notre système immunitaire : les “interférons de type 1” (IFN-1). Ce sont ces anticorps qui sont chargés de lutter contro il virus et qui consentent d’enrayer sa réplication. 10 di 42 pazienti qui ont été examinés ont en fait développé des “auto-anticorps” qui empêchent les IFN-1 d’agir correctement. Ces auto-anticorps étaient presenta chez ces pazienti bien avant qu’ils ne soient infectés contre le virus.
“À cause de ces auto-anticorps, ces pazienti ne peuvent oppositore au SARS-CoV-2 une ligne de défense rapide via les interférons, explique Paul Bastard, l’un des signataires de l’étude, auprès de nos confrères du Monde. Cette première défense faisant défaut, le virus se multiplie trop vite. Les anticorps anti-Covid-19 induits par la vaccination arrival trop tard: ils ne parviennent pas à neutraliser le virus.” Paul Bastard è stato citato in questo modo utile de traquer ces “auto-anticorps” chez les personnes immunodéprimées: “Le pourcentage de personnes avec ces auto-anticorps augmente beaucoup avec l’âge : inférieur à 1% chez les moins de 65 ans, il dépasse 4% chez les 80-85 ans”, conclut le chercheur.
“Fanatico di zombi da una vita. Praticante di web hardcore. Pensatore. Esperto di musica. Studioso di cultura pop impenitente.”