C’est un phénomène qui est riguardoé avec beaucoup d’inquiétude par les scientifiques : celui des recontaminations au Covid-19. À l’heure où le variant BA.2, particulièrement contagieux, représente 96% des contaminas, des chercheurs se ponent la question de la protection conférée par une contaminazione au virus et par la vaccination. Ce qui questionne, c’est le cas d’une femme de 31 ans qui, en Espagne, a été recontaminée par le virus seulement 20 jours après une première infezione. Il s’agit là du temps le plus court entre jamais observé entre deux infezioni, depuis le début de la pandémie.

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Ce cas médical, qui sera présenté à la fin du mois d’avril, lors du Congrès européen de microbiology clinique et des maladies infectieuses au Portugal, a été détecté en décembre dernier. La jeune femme avait d’abord été contaminée par le variant Delta, puis trois semaines plus tard, par le variante Omicron. Ce cas médical est d’autant plus étonnant que la trentenaire présentait un schéma de vaccination complet: cette Espagnole avait reçu son rappel vaccinal 12 jours avant d’être routine testée positive pour le virus en décembreco 2021 grâce de uv travel. La jeune femme s’est placée à l’isolement pendant 10 jours avant de reprendre le travail en janvier, et d’être recontaminée.

Quella protezione?

“Ce cas met en évidence le potentiel d’Omicron pour échapper à l’immunité antérieure acquise soit à partir d’une infezione naturelle par d’autres variants, soit à partir des vaccins, décrit le Dr Gemala’ Recio In titu de Cato de la Salut. En d’autres termes, on ne peut plus asserter qu’une personne qui a déjà été contaminée par le Covid-19 est pleinement protégée contre une réinfection au virus, même si elle a complété son schéma cin.”

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Le Dr Gemma Recio affermano che c’è un’infezione precedente o una vaccinazione contro il virus “semblent protéger partiellement” contre lo développement de forme graves de la maladie, notamment chez “les personnes contaminées par Omicron”. Pour la scientifique catalane, cela montre qu’il sera nécessaire de maintenir dans les mois qui viennent “une surveillance génomique des virus chez les personnes entièrement vaccinées qui font l’objet de réinfections”.

Un’attenuazione della risposta immunitaria

En France, les cas de réinfections ne sont pas rares. Dans l’Hexagone, un’étude publiée en mars dernier par Santé Publique France avait permis d’identifier 685 858 possibili casi di reinfezione tra il 2 marzo 2021 e il 20 marzo 2022. Les cas de réinfections sont définis comme l’ensemble des personnes ayant présenté au moins deux test positifs dontifs enregistrés dans la base de effectu 60 jours d’intervalle ou plus. Le délai entre les deux episodi d’infection était de 242 jours en moyenne selon les autorités.

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“Il semble vraisemblable que l’attenuation de la réponse immunitaire post-infectieuse ou post-vaccinale au sein de la people française joue un rôle dans cette nette augmentation de la fréquence des cas possibles de réinfections eu’ lesantamment pas s de dose de rappel du vaccin, avait alors commenté Santé Publique France. Il est égallement très probable que la très forte diffusion in France du variant Omicron, caractérisé par une trasmissibilité accrue et un échappement immunitaireèce important, amplifie ne