La conferenza di Monaco sur la sécurité a lieu chaque année, mais il y flotte cette année une ambiance très particulière. Un parfum de Guerre froide, avec des tensions cristallisées entre la Russie et les Etats-Unis à propos de la crisi ucrainain crosta l’ Allemagne. « Avec un déploiement sans précédent de troupes à la frontière avec l’Ucraina et des exigences datant de la Guerre froide, la Russie remet en cause les principi fondamentaux de l’ordre de paix européen », a de s déclarée communie Affaires étrangères Annalena Baerbock . Espressione ripresa par la Cinaqui s’est mêlée au débat jeudi, lors de la réunion du Conseil de sécurité, estimant que « l’expansion constante de l’ Otandans le sillage de la Guerre froide, (allait) à l’encontre de notre époque ».
La lista dei presenti de ce grand raout de la défense, où se rencontrent pendant trois jours dirigenti internazionali et diplomates de haut rang, en est la preuve. Sont notamment attendus à Munich la vicepresidente americana Kamala Harris, il segretario di Stato americano Antony Blinken, lo chef des Nations unies Antonio Guterres, il presidente della Commissione europea Ursula von der Leyen, lo chef dell’OTAN Jens il presidente ucraino Volodymyr Zelensky. Mais la Russonon le ministre des Affaires étrangères Sergeï Lavrov est régulièrement venu à cette conférence annuelle, n’a pas prévu de participer cette année.
Un retrait peu convaincant
Le chef de la diplomatie russe rencontrera son homologue américain Antony Blinken la semaine prochaine « à condition qu’il n’y ait pas d’invasion russe de l’Ukraine », un indiqué jeudi soir le département d’Etat. Selon un responsable de la Maison Blanche, il presidente Biden s’entretiendra vendredi après-midi « avec les dirigeants transatlantiques (…) au sujet des troupes militaires russes massées à la frontière de sforzi de l’e des fairekra vé » diplomate.
Jeudi, le dialog de sourds s’est poursuivi entre les Etats-Unis et la Russie, prenant un tour très solennel au conseil de sécurité de l’ONU où Antony Blinken est venu exhorter les Russes à «abbandononer la voie». “Toutes les indicazioni que nous avons, c’est que (les Russes) sont prêts à entrer en Ukraine, à attaquer l’Ukraine”, avait dit auparavant Joe Biden, jugeant l’offensive possible “dans les prochains jours”. Moscou avait annoncé mardi et mercredi le retrait de ses troupes, immagini di treni chargés d’équipements à l’appui, mais sans convaincre les Occidentaux.