Orange con servizi multimediali, publié le dimanche 12 juin 2022 à 07h00
Pour faire face à l’inflation, somes ménages sontés à des arbitrages quotidiens pour tenter d’équilibrer leur budget, avec des dépenses qui sautent inéluctablement.
En mai, l’inflazione s’est encore accéléréedépassant la barre des 5% pour la première fois depuis 1985 et, “contrairement aux années 1970 et 1980, beaucoup de consommateurs ne sont pas habitués à ce phénomène”, relève Jérémy Ducros, économiste pouré l’conomiste gé dé pour toss.
Autre spécificité selon lui : “On ne sait pas combien de temps ça va durer” et “il ya une grande hétérogénéité, par exemple entre les prix de l’énergie qui explosent et ceux de l’alimentation, rapid mai augmentent”.
Pour faire face à l’inflation, somes ménages sontés à des arbitrages quotidiens pour tenter d’équilibrer leur budget, avec des dépenses qui sautent inéluctablement.
Moins d’achat plaisir pour les classes moyennes
Pour les classes moyennes, dont la part du budget dédiée aux dépenses contraintes (alimentazione, loyer, énergie, trajets quotidiens, ecc.) est moins élevée que pour les plus précaires, les premiers arbitrages se font sur des pôles non essenziali. “Il ya une diminution plus forte de l’hygiène/beauté, type coiffeur et esthéticienne, et on finit le tube de dentifrice”, osserva Sandra Hoibian, directrice générale du Centre de recherche pour l’étude et l’observation des condition de vie (Credoc).
Déplacements liés aux loisirs, vacances, restaurant, ameublement : face à l’incertitude, “on coupe l’achat de plaisir et, dans les ménages qui avaient déjà économisé pendant la crisi sanitaria (de Covid), on rentionforce de p’cauré ” , ajoute-t-elle.
Si les consommateurs ne sont plus habitués aux périodes d’inflation, les confinaments à cause du Covid ont instauré de nouvelles habitudes, qui se traduisent par un maintien à des niveaux bas des dépenses habillement/hygiène/beauté ou de sorties culturelles.
Et, nouveauté face à l’inflation, certi abonnements numériques pris pendant la crisi versata être résiliés.
Netflix cita l’inflazione parmi les facteurs ayant eu un impact sur ses abonnements au premier trimestre. Selon une récente étude de l’institut Nielsen, 44% des ménages français qui font désormais attention à leurs dépenses ont limité leur budget “loisirs à la maison”.
Les marques distributionurs et premiers prix plébiscitées, le bio abbandono
Il primo riflesso è avoir quand les budgets sont plombés par l’inflation selon La finance pour tous, “sortir trois relevés de compte” e faire la chase aux doublons, par esempio dans les assurances, pour faire un tri.
Mais sur les dépenses essentielles, le renoncement è impossibile, surtout pour les plus précaires qui doivent trouver des alternatives. Sur les biens alimentaires (consommation en recul de 1,1% en avril selon l’Insee), il report vers les marche distributrici voire premiers prix est un réflexe25% des ménage fragilisés y ont actuellement reours, bien que leurs prix augmentent proportionnellement davantage, selon l’Institut Nielsen.
Il report est d’autant plus facile aujourd’hui que les distributors discount comme Lidl ou Aldi ont amélioré leur image : “ils communiquent sur la qualité des produits frais, ils ont rénové leurs attrattori magnetins, lancé desisifs de plans de fidé resté program Promotionnels sur l’électroménager”, selon Nicolas Léger, direttore dell’analisi a Nielsen.
Phénomène plus récent, l’abandon du bio (ventes en baisse de 6.3% depuis le début de l’année) dont le prix a, selon lui, toujours été une “barrière” à la consommation, renforcée dans. un contexte
Être écolo ne réduit pas toujours les factures énergétiques
Sur l’énergie, dont la consommation a connu un rebond en avril à cause des températures, la marge de manovra est limitée. A l’échelle nationale, baisser le chauffage de quelques degrés réduit la facture mais, a l’échelle du foyer, l’augmentation des prix compense vite les économies réalisées.
“Certe gestes écologiques qui permettent aussi de réduire les coûts ne sont pas accesss à tous”, relève Jérémy Ducros, ecc., malgré les subventions pour changer de moyen de chaudière ou de voiture. Idem pour le carburant: “On peut lever le pied mais il faudra toujours faire le plein”.
Sur ces derniers postes budgétaires, le gouvernement met en place des aides ciblées (indemnité inflation, bouclier tarifaire, réduction à la pompe), mais “l’éléphant qui arriver dans la pièce” sans marge se se manoeuvre, est le logement, “qui augmente depuis 20 ans et n’échappera pas à l’inflation dans les prochains mois”.
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