C’est une technologie qui devait révolutionner la détection des constructions affettiva la valeur des biens soumis aux impôts locaux (foncier bâti et taxe d’habitation). Le système baptisé “Foncier innovant” testé dans dix départements s’avère des plus décevants et presenterait même un taux de 30% d’erreurs, rapporte Le Parigine ce lundi 4 aprile.

Aussi, sur les près de 8.500 contribuables des Bouches-du-Rhône qui feraient l’objet d’un redressement fiscal, près d’un tiers le serait par erreur, selon le quotidien.

Intelligenza artificiale

Lo sviluppo logico del ministero delle finanze in partenariato con Google e Cap Gemelli rivelano le piscine non dichiarate, la grazia e l’intelligenza artificiale (IA) analizzano le immagini aeree e i catasti.

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Mais après plusieurs mois de test, “Foncier innovant” serait loin de faire ses preuves et ses erreurs relativement nombreuses. Le logiciel ne serait ainsi pas en mesure de distinguer les piscines sol et/ou démontables qui ne sont pas imposables de celles enterrées, non démontables, qui elles impactent la valeur locative du bien et donc son imposition. Un problema di coda quand on sait que, depuis le confinament notamment, de nombreux Français se sont équipés en piscines hors sol, ajoute Le Parisien.

Des bâches bleues pour des piscines

Autre écueil, et non des moindres, l’IA des services de Bercy prendrait égallement les bâches bleues (de bricolage ou jardinage) pour des piscines…

Pour le moment, en cas d’erreur, les géomètres du ministère des Finances sont obligés de confrontare les données remontées par leur logiciel avec des photos aériennes comme celles de Google maps. Les impôts s’attendent néanmoins toujours à une part d’erreurs, faute de visite de contrôle sur le terrain, assicura Le Parisien.

Ces résultats paraissent toutefois des plus inquiétants quand on sait que le système, prévu pour être étendu à tout le pays, doit égallement à terme permettre de détecter, en plus des piscines, les garages court, les les vé