DÉCRYPTAGE – Bercy est au chevet des victimes collatérales du conflitto et des sanzioni.
Entre leur Employeur et leur patrie, ils ont choisi leur patrie. Des firmes françaises installées en Ucraina en ont fait l’expérience ces derniers jours. «Il nous a été rapporté que des salariés ukrainiens de certees filiales localis ont préféré détruire l’outil industriel plutôt que de le voir tomber aux mains des Russes»confida Agnes Pannier-Runacheril ministro dell’Industria.
Installées près des lines de front, ces filiales sont loin d’être les seules victimes collatérales françaises de l’invasion russe. Certamente non si ferma l’attività per la causa del conflitto. D’autres continuent car elles produisent des biens essentiels, dans l’alimentaire ou la santé. Mais Certaines sont privées de bras. La Malterie Soufflet a perdu une quarantaine de ses 350 salariés, qui ont pris les armes dès les premiers jours du conflit. Certi ont demandé à se faire remplacer par leur femme.
Lire aussiRéseaux sociaux: comment l’Ucraina a gagné la guerre de l’émotion
«Après la mise en sécurité des équipes et de leurs familles, des question se posent aux entreprises Employant des…
“Fanatico di zombi da una vita. Praticante di web hardcore. Pensatore. Esperto di musica. Studioso di cultura pop impenitente.”