vidéo – L’actrice est venue sur TMC pour promouvoir le film Bernadette Il n’a pas apprécié la longue histoire que le journaliste a racontée sur Jean-Claude Le Monde, l’ancien chauffeur de Jacques Chirac.
Ce jour-là, mercredi 4 octobre Catherine Deneuve Il a été invité sur le tournage de “Quotidien” pour présenter le film Bernadette . Dans le long métrage de la réalisatrice Léa Dominac, l’actrice incarne l’ancienne Première dame. Si le début de promotion s’est déroulé sans encombre, c’est sans compter sur la chronique de Jean-Michel Avati.
Pour le reportage de Bernadette Chirac, la journaliste a choisi de s’intéresser au chauffeur de son mari, Jean-Claude Le Monde, qui a servi Jacques Chirac pendant deux décennies. Une vie racontée dans son livre Vingt-cinq ans avec luipublié chez Ramsay en 2001. Un choix éditorial que l’actrice n’apprécie que moyennement et qui sera annoncé rapidement.
Colonne très longue
Homme de l’ombre, Jean-Claude Le Monde avait été témoin de la trahison de son patron. “Jacques Chirac aimait tellement Le Monde qu’il s’est fait un ami proche pour l’emmener partout à Paris, même en France, voir ses innombrables conquêtes féminines, maîtresses et liaisons…”. L’histoire est déjà bien longue pour Catherine Deneuve, qui est allée jusqu’à Jean-Michel Avati. “Innombrable…”, répète l’actrice en fronçant les sourcils. “Je sais qu’il avait des maîtresses, mais tous les politiciens, tous les hommes au pouvoir ont des maîtresses.”Elle ajoute. « Innombrable, ce qui signifie que personne ne les a comptés. »tente de rationaliser le journaliste dont l’enthousiasme s’essouffle rapidement.
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Puis Jean-Michel Avati évoque “Des enveloppes contenant des tickets envoyées à tous les engagés pour Jacques Chirac.” Et distribué par le chauffeur. Ces paiements ont fait l’objet de plusieurs enquêtes. “Tout était truqué à la Mairie de Paris.”, résume le journaliste. Là encore, Catherine Deneuve ne reste pas assise à attendre la fin d’une chronique qui la dérange visiblement : “Mais tu exagères le mot ‘faux’, il faut le dire “négocié” Non “Faux”». “C’est une histoire exagérée, disons-le ainsi.”Répond Jean-Michel Avati, qui commence lui aussi à perdre patience.
Il continue péniblement son récit, qui commence à s’étendre sur de très longues minutes. “Je ne comprends pas pourquoi vous parlez moins de Bernadette Chirac que du chauffeur de Jacques Chirac ? Qu’est-ce qui vous fait autant rire dans cette histoire ?” a plaisanté Catherine Deneuve, qui s’est montrée totalement désintéressée pour tout ce qu’elle venait d’entendre.
Yann Barthez sourit gêné et vient au secours de son invité et chroniqueur. “On est loin de la comédie Bernadette…”, L’animateur qui remarque que ce célèbre pilote du film est le seul protagoniste à bénéficier d’un nom fictif décide. Son nom a été changé pour Yvon Mulliner sous les traits de Lionel Abellanski. “Je pense que l’avocat a décidé cela pour qu’il n’y ait pas de problèmes avec des choses sans rapport.”répond Catherine Deneuve, éliminant ainsi son interlocuteur.
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