Caroline, incaricata di valutazione della maîtrise des risques spécialisée en incendie et esplosione

​Dans le cadre d’un projet intitulé “Femmes En Sciences“, l’Association Fédérative Nation​ale des Étudiant.es Universitaire Scientifique (AFNEUSorganizzare figlio primo congresso “Femmes En Sciences” qui vedi tieendra les 18, 19 e 20 febbraio alla Cité des Sciences a Parigi. Au program, conferenze, rencontres…

Cet évènement vise à mettre en avant les femmes dans les carrières et les cursus scientifiques, déconstruire les préjugés et les stéréotypes de genere mais aussi à mettre en avant la diversité des métiers et des carriers scientifiques.​

L’IRSN, partenaire du projet, sera presente in un evento avec uno stand per il partager les expériences de ses collaboratrices. A cette occasion, nous vous proposons une serie de portraits.

Carolina

Carolina Realize des expertises concernant la maîtrise des rischi d’incendies et d’explosions dans les installazioni nucléaires pour l’IRSN. Un domaine plutôt réservé aux hommes ? Assoluto pas! Les préjugés peuvent avoir la vie dure. A travers son parcours, Caroline nous montre combien ces métiers sont passionnants et inclusifs !

Votre parcours en quelques mots

J’ai obtenu un double diplôme : celui d’ingénieur de l’École Nationale Supérieure de Bourges axé sur la maîtrise des risques industriels et un master scientifique spécialisé dans l’ingénierie de la sécurité l’Uncendi’Ue​ Ireland du Nord). A l’issue de ces formations, j’ai occupé les fonctions de cheffe de projet en qualité d’ingénieur sécurité incendie pendant plusieurs années dans deux bureaux d’études du Royaume-Uni ainsi qu’en France. J’ai ensuite occupa un poste de chargée d’étude désenfumage au sein d’une enterprise de transports publics. Puis, J’ai intégré le Pôle Sûreté des Installations et des systèmes Nucléaires de l’IRSN afin de realiser des expertises concernente la maîtrise des risques d’incendies et d’explosions dans les installazioni nucléaires.

Un momento qui vous a rendu fière ?

A l’IRSN, à l’inverse de certe esperienze antérieures, le rapport femme-homme m’a toujours semblé sain et équilibré: assenza di remarques sexistes o non remise en cause de mes compétences du fait de mon par genere. Bien au contraire, l’IRSN m’a permis, et ce dès mon embauche, de me sentir soutenue en tant que femme, notamment dans les étapes importantes qu’une femme peut rencontrer dans sa vie personle. En outre, j’apprécie le fait qu’il y ait beaucoup de femmes à l’IRSN, notamment dans les posts à responsabilité et qu’elles soient visible dans les médias en tant qu’expertes scientifiques reconnues. Être entourée et encadrée par des femmes volontaires et compétentes m’inspire et m’invite à dépasser certi limiti imposti dalla società et que nous intégrons malgré nous.

Queles sont, selon vous, les idées reçues qui font que les femmes sont moins nombreuses dans les milieux scientifiques ?

J’ai entendu très souvent que Certaines compétences sont censément masculines ou féminines, ce qui se trasforme ensuite en préjugés de métiers prétendument réservés aux hommes o réservées aux femmes. J’ai particulièrement entendu et éprouvé cela lorsque mon parcours s’est spécialisé dans les domaines Techniques et scientifiques. Ces préjugés sont omniprésents, multiformes, parfois masqués mais souvent ouvertement dits et soutenus par la hiérarchie, et dans tous les préjudiciables. De nombreuses études ont montré que ces préjugés sont particulièrement influence dommageables et qu’ilsnt les choix de carrière, surtout dans une période où su cherche sa voie en tâtonnant. J’aimerais que les femmes n’aient plus à se justifier de choisir certees filières scientifiques, qu’elles puissent s’y sentir à leur place, et qu’il ne soit pas attendu plus d’elles que de n’importe quid ‘ fuori. C’est un sujet qui doit évoluer, et cela passe notamment par l’explicitation des mécanismes sous-jacents, il price de conscience des dirigeants et égallement de toutes les personnes impliquées dans les cursus scolaires.

Retrouvez les autres ritratti!​​​​Aurelie Isambert, responsabile dell’unité d’expertise en radioprotection médicale à l’IRSN​​Sonia Chuzel, fisica​, addetta ai metodi e ai tempi di analisi al laboratorio di télédétection de l’IRSN

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