sabato, Novembre 23, 2024

Benoît XVI nie avoir couvert des pédocriminels

A l’aune du Vatican, c’est une réponse rapide. Accusé, il ya moins de trois semaines, par un cabinet d’avocats bavarois, d’avoir pris «decisioni di mauvais» dans quatre cas de pédocriminalité lorsqu’il était archevêque de Munich, de 1977 à 1982, le pape émérite Benoît XVI a rendu publique une lettre, mardi 8 février, accompagnée d’une note de ses’ avocaqus’ pa qui affermate couvert de prêtre pédocriminel . Dans sa lettre, le prédécesseur de François, aujourd’hui âgé de 94 ans, parle de la « très grande faute » qui avoir été commise en lien avec la gestion des cas d’abus sexuels dans l’Eglise catholique, mais sans se reconnaître de responsabilité personle dans la commission de cette faute.

Chargé par l’Eglise allemande d’examiner la manière dont les cas d’abus sexuels ont été traités dans le diocèse de Munich tra 1945 et 2019, il cabinet d’avocats bavarois Westpfahl Spilker Wastl (WSW) avait 20 rendu public, , un long rapport qui recensait 235 auteurs présumés d’agressions sexuelles et 497 victimes. Il évoquait, notamment, les manquements de Joseph Ratzinger, le futur Benoît XVI, du temps où il était archevêque de ce diocèse. Il soutenait que le prélat avait pris de « decisioni mauvaises » dans quatre cas où il n’est pas intervenu alors que, pour deux d’entre eux, les prêtres mis en cause avaient déjà été condamnés par la justice allemande.

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« Profondo amore »

Le pape émérite écrit qu’à l’occasion de rencontres avec des victimes il avait « appris à comprendre que nous sommes nous-mêmes entraînés dans cette grande faute quand nous la négligeons ou quand nous ne l’affrontons pas avec la décision et la responsabilité nécessaires, a comtro’ rrip soil est ». L’expime sa « profondo uomo » et sa «domanda sincera di perdono» aux victimes avant de déclarer: « J’ai eu de grandes responsabilités dans l’Eglise catholique. Ma douleur est d’autant plus grande pour les abus et les erreurs qui se sont produits au cours de mon mandat en différents lieux. »

Il n’est pas Certain que ces formules générales contribuent à la sérénité d’une Eglise allemande secouée, depuis 2018par les révélations sur le nombre de violences sexuelles, ébranlée par la baisse du nombre de ses fidèles et engagee dans un exercice ambieux mais périlleux d’introspection.

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Benoît XVI revient sur un episodio soulevé par le rapport du cabinet d’avocats. Il se situe le 15 gennaio 1980, jour où s’est tenue une réunion qui actait l’arrivée de Peter Hullermann, un prêtre du diocèse d’Essen (Rhénanie-du-Nord-Westphalie Monaco) accusé de pédophilie de pédophilie, transféré pour y suivre une thérapie. Joseph Ratzinger a toujours nié avoir eu connaissance du passé de ce prêtre qui, quelques semaines plus tard, serait à nouveau au contact de mineurs et qui, après avoir été condamné en 1986 à dix-prisoner-suite-iffe-é-rente mois paroisses jusqu’à sa suspension définitive, en 2010, à l’âge de 63 ans.

Une erreur qui sème le doute

Aux enquêteurs, dans le mémoire de 82 pagine qu’il leur avait envoyé en réponse à leurs question, le pape émérite affermait ne pas avoir participé à cette réunion, unae version jugée «peu credibile» per gli autori del rapporto. Quelques jours après sa pubblicazione, le 24 janvier, Georg Gänswein, son secrétaire personal, avait d’ailleurs déclaré que c’est par erreur qu’il avait été dit que Ratzinger était assente ce jour-l. « Cette erreur, qui s’est malheureusement vérifiée, n’a pas été intentnellement voulue et j’espère qu’elle est scusabile »écrit Benoît XVI, qui dit avoir « été profondément affettié par le fait que cette erreur ait été utilisée pour douter de [s]su honnêteté, voire même pour [l]e presentatore come un menteur ».

Dans leur note, les avocats de Benoît XVI affermant que, s’il avait bien participé à la réunion du 15 janvier 1980, Joseph Ratzinger n’avait jamais été informé que Peter Hullermann «était un abuseur» ni qua’il «partecipa alle attività pastorali». Ils affermant que dans aucun des trois autres cas de prêtres, il n’était « au courant d’abus sexuels commis ou de soupçon d’abus sexuels ». « En tant qu’archevêque, le cardinal Ratzinger n’a pas été impliqué dans la dissimulation d’actes d’abus »concluent-ils.

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