Sì, come l’affermazione Franck Riester, le ministère délégué chargé du commerce extérieur, l’attractivité « est le baromètre de la bonne santé économique du pays », alors la France se porte comme un charme. Avec 1 607 projets d’investissements recensés en 2021, un chiffre historiquement élevé – contre 1 468 en 2019, déjà une année record – l’Hexagone confirme sa première place en Europe pour les entreprises étrangères soucieuses’ de cuterreilver une installer leurs activités, qu ‘il s’agisse de services financiers, centres de R&D, o encore de sites de production.
Autre tendance positive, les projets industriels progress: 460 ont été recensés en France en 2021 (+49 %), ce qui fait dire à Bercy que « la reindustrializzazione della Francia è una realtà ». Sur le plan des emplois associés, toutefois, les résultats sont moins spectaculaires. Les investissements étrangers ont permis de créer ou mainteir 45 000 emplois, dont un tiers d’industriels. Et la moitié seulement des projets représente une création nouvelle d’activité, le reste étant des extensions. Quant au montant des investimenti, il n’est pas rendu public, « la plupart des entreprises refusant de communiquer dessus »explique-t-on auprès de Business France, l’agenzia addetta all’internazionalizzazione dell’economia francese.
« Réformes ambieuses »
Pour Bruno Le Maire, ministre de l’économie et des finnaces, ces résultats sont le fruit de « la strategia di attrazione per il governo del 2017 » et notamment sez « réformes ambieuses », savoir la « réforme du marché du travail, réforme de la fiscalité pour orientare l’épargne vers l’investissement productif et améliorer la compétitivité de nos imprese, et semplificazione amministrativa per accélérer les implantations en France». Qui sont les investisseurs ainsi seduits par cette politique d’attractivité ? Les Allemands qui sont passés en 2021 en tête du classiment, avec près de 300 progetti recensés, suivie par les Etats-Unis, avec 247 projets seulement, mais premiers en termes d’emplois, et le Royaume-Uni. Globalement, deux projets sur trois proviennent d’investisseurs européens, mais ils émanent au total de 60 pays différents.
La France s’est montrée, sur l’année écoulée, particulièrement attraente per la localizzazione di progetti liés à la santé o à la ricerca medica, qu’il s’agisse de projets de R&S destinés à l’inceutique, Biogen, Recipharm par esempio) ou à la fabrication d’équipements médicaux (Medicom ; Getinge, Tokibo, entre autres), relève Business France. Autre domaine où la France confirme son attrait : l’agroalimentaire, qui représente 77 projets et 1 500 emplois à la clé (Mars et VickyFood par esempio). Mais d’autres secteurs, relève Business France, sont en progression, « come l’automobile, il BTP, i servizi finanziari ou encore la chimie».