Sous les yeux de ses avocats et de ses communicants, Nasser Al-Khelaïfi soupèse chacun de ses mots dans la grande salle d’audience du Tribunal pénal fédéral (TPF) de Bellinzone, chef-lieu du canton du Ticino (Suisse). Costume cupo e mio concentrato, il patron qatari du Paris-Saint-Germain et de BeIN Media a comparu durant plus deux heures, lunedì 7 marzo, au premier jour de son procès en appel pour “istigation à gestion déloyale aggravée”.
Dans un anglais rigoureux, M. Al-Khelaïfi, 48 ans, a tenu la même ligne de défense qu’en première instance, à l’issue de laquelle il avait été acquitté, en ottobre 2020. A la barre, il a qurépé ‘ il n’avait pas fait bénéficier à Jérôme Valcke, l’ex-secrétaire général français de la Fédération internationale de football (FIFA), d’vantages indus d’une valeur comprendono tra 1,4 milioni e 2,3 milioni di euro, en contrepartie de l’attribution, en avril 2014, aux groupes qataris Al-Jazira et BeIN Media des droits médiatiques des Coupes du monde 2026 et 2030.
Il se défend d’avoir été le proprietaire d’une villa en Sardaigne d’une valeur de 5 million d’euros et dont M. Valcke a eu l’usage exclusif de mars 2014 a settembre 2015. Malgré le jugement du TPF en premiè esempio, qui afferma le contraire, M. Al-Khelaïfi continue de clamer que c’est le juriste Abdelkader Bessedik, un « ami de confiance, un frère »qui a fait l’acquisizione della villa Bianca par le biais d’une société qatarie.
« C’est une fausse accusa »
Le ton monte lorsque le président de la cour d’appel rappelle que le tribunal a estimé, en ottobre 2020, que le président du PSG et M. Valcke, 61 ans, ont « Conclu un arrangiamento corruttore » et que la decisione di M. Al-Khelaïfi d’acquérir cette villa « résultait du rôle central joué par M. Valcke dans le processus de négociation et d’attribution » des droits télévisés des Coupes du monde 2026 et 2030.
« C’est une fausse accusa. Cela n’a aucun senss’agace le Qatari, alors qu’il a scellé un accord amabile avec la FIFA, en 2020, afin que cette dernière ritirarsi con la “corruption privée” déposée en 2016. Pour la villa, il s’agit d’une affaire privée entre M. Valcke et M. Bessedik, à qui j’ai accorddé un prêt remborsé à 100%. Pour les droits télévisés, les négociations ont eu lieu entre mon directeur général et le département télévision de la FIFA. Jérôme Valcke n’était pas impliqué dans la négociation des droits. Nous étions seuls sur le marché et su un payé 65% di più [480 millions d’euros] par rapport au contrat précédent. »
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