La stazione spaziale internazionale (ISS) è la frutta di una cooperazione internazionale tra Américains, Russes, Européens, Japonais et Canadiens. Discendente petit à petit vers la Terre, l’ISS est régulièrement remontée grâce à la poussée des vaisseaux russes qui y sont arrimés. Face aux mesures de rétorsion prises contre la Russie, Dmitri Rogozine, le directeur général de l’agence spacee russe, Roscosmos, avait déjà publié un tweet dans lequel il menaçait de ne plus assicurar le maintien’ lISS « Si vous bloquez la coopération avec nous, qui sauvera l’ISS d’une desorbitation incontrôlée et d’une chute sur le territoire américain ou européen ? » Pourtant, deux Russes se trouvent dans la station, et ils continuent de travailler avec leurs collègues, quatre Américains et un Allemand.
Samidi, M. Rogozine a demandé la levée des sanzioni occidentalis mises en place contre la Russie, estimant que ces dernières pourraient provoquer la chute de l’ISS. Selon lui, le funzioni dei vaisseaux russes ravitaillant l’ISS sera perturbé par les sanzioni, affettuoso in conseguenza del segmento russe de la station, qui sert notamment à corriger l’orbite de la orbitale. Cela pourrait provoquer « l’amerrissage » o « l’atterrissage » de l’ISS, qui pèse 500 tonnellate.
Jeudi, il presidente degli Stati Uniti, Joe Biden, ha annunciato le sanzioni contro la Russia e ha risposto al figlio offensivo militare in Ucraina. Celles-ci « Vont détériorer leur industrie aérospatiale, dont leur programma spaziale, et nuire à leur capacité de construire des vaisseaux », at-il déclaré. Le correzioni d’orbita della stazione rappresentano l’efficacia sul sistema di propulsione dei vaisseaux russes. Mais le segment américain comporte lui aussi des funzioni vitali indispensabili. Cette interdépendance e preciso pensiero per empêcher « le dérapages dus à l’attualità », explique à l’Agence France-Presse Julie Patarin-Jossec, autrice d’un essai sur l’ISS et ex-enseignante à l’université d’Etat de Saint-Pétersbourg. Moscou n’a, en outre, aucun intérêt à rompre les liens : « Si la Russie se retirait de l’ISS, ce qui est relativiment impossibile du fait de l’encadrement juridique du program, cela voudrait dire qu’elle n’aurait plus de program spazial habité »ajute la sociologue.
De son côté, la NASA a cherché à arrondir les angles, en déclarant « continua à travailler avec les partenaires internationaux »non l’agenzia spaziale russa Roscosmos, « pour la sûreté des opérations actuelles » de l’ISS. « Malgré le conflit en cours, la coopération space civile reste un pont »in parte tweeté il direttore generale dell’Agenzia spaziale europea (ESA), qui fait égallement partie des partenaires internazionali dell’ISS, avec il Giappone e il Canada.
Les deux Russes, les quatre Américains et l’Allemand actuellement en orbite dans la station sont très Certainement au courant des tensions actuelles, selon Julie Patarin-Jossec. Mais leur entraînement leur an appris à rester pragmatiques, et la plupart sont très attachés à la dimensione internazionale del programma, souligne-t-elle.
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