En 2007, quand Nicolas Sarkozy prefigurato Emmanuel Macron
Dans ce direct consacré à l’actualité de la campagne elettorali, nous allons égallement évoquer le passé en revenant chaque jour sur les momenti marquants des dernières présidentelles à travers un articolo du Monde. Aujourd’hui, faisons un retour en arrière de quinze ans… le 7 février 2007.
Chez Nicolas Sarkozy, il ya alors quelque ha scelto de très macronien. La droite, la gauche? Clivage dépassé, à en croire le candidat de l’UMP à la présidenielle, qui promet être « presidente dell’ouverture ». Il poursuit par là, selon notre collègue Philippe Ridet, trois objectifs : « Profiter d’un certo désarroi provoqué dans son camp par Ségolène Royal, qui peine à rassembler tout le Parti socialiste (…) ; integra una parte della strategia di François Bayrou, qui connaît le succès en souhaitant rassembler gauche et droite dans un même gouvernement ; et, enfin, apparaître comme un candidat “hors système”. »
Quelque ha scelto macronien, aussi, dans la quête d’un rapport direct aux Français : Nicolas Sarkozy participe, le 5 février 2007, à la première de “J’ai une question à vous poser”, une emission de TF1 à qui le confronte des électeurs – esercizio prisé aussi du chef de l’Etat actuel, qui n’a pas hésité à dire qu’il souhaitait « far cuocere i non vaccinati » ai lettori del parigino, debutto janvier. Ce soir-là de 2007, M. Sarkozy ne rechigne pas davantage à utiliser une formule choc, affermant que, « it France, su n’est pas polygame, su n’égorge pas des moutons dans sa baignoire». Une partecipante à la soirée, problema dell’immigrazione, se sent-elle insultée? « Vous n’êtes pas Algérienne et je ne suis pas Hongrois », lui replica il futuro presidente nell’indubitabile oratorio aisance.
La somiglianza se si tratta di qualcosa di giusto per la gestione dei tempi e delle cascate, in un momento in cui è presente il presidente dell’UMP, quando si candida in campagna, è il primo ministro dell’interno durante il lavoro.« Il ne sera pas dit qu’un seul Français pense que j’ai choisi entre mon boulot et mon ambition », assicurare-t-il. Le camp Macron ne dirait pas mieux, qui répète à l’envi depuis des semaines que les crisis de l’Ucraina et du Covid mobilisent son champion bien plus urgemment que la réélection à laquelle il n’est toujours pas candidat.
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