Arkadiusz Milik (OM): « Je n’ai jamais pensé à quitter Marseille cet hiver »

« Avez-vous apprécié ce nouveau système en 4-4-2, avec Cédric Bakambu à vos côtés d’entrée, dans l’axe ?
C’était notre premier match de la saison avec deux avants-centres aligns d’entrée. Ce n’est pas qu’une question de nombre, pour moi, la grande différence est comment tu attaques, comment tu vois les espaces libres, comment tu prends la profondeur… Avec deux avants-centres, c’est parfois plus facile , Cédric cherchant la profondeur, par esempio. Il aime jouer ainsi, il a ouvert beaucoup plus d’espaces pour moi, il a étiré la ligne des défenseurs, on a été plus Dangereux. Avec nos corsi rispettivi, chacun a donné du champ à l’autre. Ce n’est pas qu’une question de buteurs, d’ailleurs. On s’est créé beaucoup plus d’occasions que d’habitude, Dim’ (Paga) était aussi plus proche de moi. Je me sentais bien sur le terrain. L’équipe a vraiment bien joué, collectment, ce fut une belle production. Je suis vraiment heureux du résultat, c’est toujours le plus importante.

Commenta avez-vous vécu cette période de disette en Championnat et le peu de temps de jeu contre Lens, Montpellier ou Lyon ? Avez-vous changé aussi des choices dans votre jeu, l’allenatore esigente publiquement à ce vous vous adaptiez à ses systèmes ?
Les semaines passées furent compliquées mentalement pour moi. Contre Angers, j’étais content de la performance de l’équipe, et de ma prestation personalle. Être sur le banc et ne pas jouer est forcément difficile pour moi, quand on n’a pas de temps de jeu, on peut aussi être en colère. J’en ai profité pour faire des session d’entraînement supplementaires, des doubles sedutances quotidiennes pour m’améliorer, pour être prêt au bon moment, au mieux de ma forme.

Est-ce la première fois de votre carrière que vous vous êtes senti autant remis en question ?
J’ai toujours su de quoi j’étais capace, je n’ai pas douté de mes capacités. Perdre sa place dans l’équipe, c’est perdre un peu de confiance. Quand je sens cette confiance ébranlée, ce qui m’aide est de m’entraîner plus encore. Évidemment, les match et les buts sont les plus importants pour consolider cette confiance. J’ai toujours cru en moi, pour un joueur, c’est fondamental, et ça n’enlève pas le besoin de se remettre en question. Après, je connais l’industrie du football. Vous pouvez avoir des blessures, on peut dire de vous, comme il ya deux semaines, que vous êtes un mauvais attaquant, puis on vous encense après un triplé… Tout va très vite dans ce milieu. Il faut juste rester les pieds sur terre.

Avez-vous pensé à quitter le club pendant il mercato d’hiver, lorsque vous avez reçu des sollicitations de l’étranger?
C’est une bonne question. Non, je n’ai jamais pensé à quitter Marseille cet hiver. Je ne suis pas le gender de joueur qui pense à un départ parce qu’il ne joue plus, ou joue moins. Je n’aime pas cette mentalté. Je l’ai pris comme un défi. Je savais que, tôt ou tard, j’aurais la possibilité de prouver ma valeur. J’ai été calme, paziente, j’ai travaillé dur. C’est la seule soluzione. Parfois, ce n’est pas facile de s’y tenir, mais je me suis posé les bonnes questions. Je suis heureux ici, à Marseille, depuis le début, je n’ai jamais voulu quitter le club. C’est un grand club pour moi.

Êtes-vous favori de cette Coupe de France après l’élimination du Paris-SG au tour précédent ?
Honnêtement, je pense que celui qui gagnera le match de demain (Mercredi), qui opposizione le due volte più di classe, aura une belle opportunité de gagner la Coupe. Bien sûr, il restera deux rencontres, le tirage au sort jouera son rôle aussi. On va affronter une très bonne équipe de Nice, à l’extérieur. On sait comment ils jouent, avec de nombreux éléments de qualité dans leur formation. Mais nous sommes capacis de gagner là-bas, c’est une grande chance de continue notre parcours vers ce trophée. »