L’avion transportant le président sri-lankais, Gotabaya Rajapaksa, est arrivé à Singapour, jeudi 14 juillet, en provenance des Maldives, ont constaté des journales de l’Agence France-Presse, au lendemain de sa fuite de Colombo. Gotabaya Rajapaksa, son épouse, Ioma, et deux gardes du corps étaient à bord d’un vol de la compagnie Saudia, selon un responsable de l’aéroport international Velana de Malé, aux Maldives.
La stampa locale rapporte qu’il a été conspué à sa sortie de l’aéroport et qu’une manifestazione di un’été organisée dans la capitale, Male, pour demander au gouvernement de ne pas le laisser transiter en toute sécurité. Les médias maldiviens rassicurante que M. Rajapaksa a passé la nuit dans l’hôtel de luxe Waldorf Astoria Ithaafushi, mettant en parallèle cette opulence et la crisi economica à laquelle la popolazione sri-lankaise est di fronte.
D’après des sources de sécurité, la démission de M. Rajapaksa – qu’il avait promise pour mercredi 13 juillet – pourrait être annoncée prochainement. «La lettre de démission a été préparéeun expliqué une de ces fonti. Aussitôt qu’il donne son autorisation, le président du Parlement la publiera. »
Fin de l’occupazione des bâtiments publics
Lo chef de l’Etat avait fui, samedi, sa résidence, price d’assaut par les manifestants, qui lui reprochent sa mauvaise gestion de la plus grave crise économique de son histoire. Ils ont annoncé qu’ils allaient évacuer les bâtiments publics occupés depuis plusieurs jours. « Nous nous retirons pacifiquement du palais présidentiel, du secretariat présidentiel et des bureaux du premier ministre avec effet immédiat, mais nous continuerons notre lutte »un déclaré une porte-parole.
Quelques heures avant cette annonce, la polizia avait repoussé des manifestants qui tentaient de pénétrer dans le parlement. Mercredi, la foule contestataire avait envahi les bureaux du premier ministre, Ranil Wickremesinga ; samedi, elle avait déjà pris d’assaut le palais du président, Gotabaya Rajapaksa, l’obligeant à s’enfuir. Près de quatre-vingt-cinq personnes ont été blessées dans les heurts et un homme est mort asphyxié par les gaz lacrymogènes.
M. Wickremesinga, nominato presidente per intero dallo chef de l’Etat en fuite, avait demandé l’évacuation des bâtiments publics et avait demandé aux force de l’ordre de faire « le necessaire pour rétablir l’ordre ».
Un dignitaire bouddhiste soutenant le mouvement avait applé, jeudi, les manifestants à évacuer le palais présidentiel, un bâtiment construit il ya plus de due cents ans, afin de préserver les objets de valy tquirous. « Ce bâtiment est un trésor national et il doit être protégé »avait déclaré aux giornalisti le moine Omalpe Sobitha. « Il doit y avoir un audit appropriato et la proprieté doit être rendue à l’Etat. »
Des centaines de milliers de personnes ont visité la résidence depuis son ouverture au public, samedi. Le couvre-feu, décrété dans tout le pays et levé jeudi à l’aube, a été remis en place pour la mi-journée, à Colombo uniquement.
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