venerdì, Novembre 22, 2024

alla ricerca di vaccini di nuova generazione

Etienne Decroly aime les métaphores. En quei minuti di conversazione, le directeur de recherche au CNRS, qui traque depuis deux ans, dans son laboratoire de Marseille, l’évolution du SARS-CoV-2, en a déjà essayé trois. «Un tableau contrasté», «une pièce à deux faces», «nous sommes au milieu du gué». Il s’esplicito. «Il faut être clair. Qui aurait dit, il ya deux ans, que nous disposerions de vaccins efficacis contre les forme graves dans un délai aussi court ? Qui aurait pensé que cette protection vaccinale perdure malgré les mutazioni osservate ? Pas gran mondo. Toutefois, avec les derniers varianti, la protezione contro l’infezione est trop limitée et nous ne savons pas combien de temps nous resterons à l’abri des formes graves. Nous ne savons pas non plus dans quelle mesure les futures mutazioni du virus vont influencer cette protection. »

Dans le monde scientifique, tout le monde partage, peu ou prou, le diagnostic du virologue. novembre, uno studio dell’Organizzazione mondiale della sanità (OMS) e del Centro europeo di prevenzione e controllo delle malattie (ECDC) estimait que la vaccination avait, à elle seule, sauvé la vie à 470 000 personnes de plus de 60 ans, dont 39 000 en France. «Une merveille de la science moderne», canta Enrico Kluge, direttore della filiale Europa dell’OMS.

Pourtant, le 11 janvier, le Groupe consultatif technique de l’OMS sur la composition des vaccins entonnait le contrepoint. « Il est peu probable qu’une strategie de vaccination fondée sur una moltiplication des dosi de rappel du vaccin sous sa forme d’origine soit adaptée ou durevole. (…) Il faut des vaccins contre le Covid-19 qui, en plus de prévenir les shapes graves de la maladie et les décès, ont un impact marqué sur la prévention des infezioni et sur la trasmissione. Il serait bon de les mettre au point. »

A dire vrai, le monde de la recherche n’a pas attendu la consigne de l’OMS pour s’atteler à la tâche. Des dizaines d’équipes planchent depuis des mois pour tenter d’élaborer ces nouveaux vaccins. Mais quels nouveaux vaccins? Dans quel ma ? Selon quels principes? Et à quelle échéance?

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Adapter l’antigène aux nouveaux varianti

Presidente del Consiglio di orientamento della strategia vaccinale, Alain Fischer le dit sans hésiter : « Mon premier souci, c’est de préparer les probables rappels qui aront lieu à l’automne. » En janvier, son instance a certes déconseillé l’administration d’une quatrième dose, constatant que la troisième continuait à bien protéger contre les forme sévères, « mais dans deux, trois ou six mois, on ne sait pas et il est probable que la protection diminue, poursuit-il. Il faudra sans doute un nouveau rappel. Mais avec quoi? Ça va se jouer entre le vaccin actuel, un vaccin adapté au variant Omicron, ou peut-être à un autre variant, voire à un vaccin bivalent. Le choix est très compliqué, il ya beaucoup d’incertitudes».

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