venerdì, Novembre 22, 2024

VRAI OU FALSO. Faut-il vraiment avoir peur du NeoCov, ce coronavirus venu de Chine ?

l’essenziale
Que sait-on aujourd’hui du NeoCov, ce coronavirus au cœur d’une étude prépubliée par des scientifiques chinois fin janvier 2022 ? Ces derniers expliquent qu’une mutazione dans le genome de ce virus pourrait le faire évoluer et infecter des cellule umane. Una prospettiva qui inquiète.

Fin janvier 2022, des scientifiques chinois ont prépublié une studio sur un coronavirus existant chez les chauves-souris nommé NeoCov. Connu depuis une dizaine d’années, il a été identifié, comme le précise Controllanotizieen 2011 it Africa del Sud chez une Neoromicia capensisune espèce de chauve-souris, d’où il tire une partie de son nom, et n’est pas un nouveau variant du SARS-CoV-2.

Un coronavirus qui ne se transmet, actuellement, qu’entre chauve-souris. Dans l’article publié par cette équipe chinoise, les chercheurs avancent qu’une mutation dans il genome de NeoCov pourrait le faire évoluer et infecter des cellule umane. Mais selon les auteurs de l’étude, il est peu suscettibile de le faire en l’état, rapporte liberazione. Actuellement, aucun cas d’infection au NeoCov chez l’humain n’a d’ailleurs encore été observé.

Ce qui semble inquiéter, c’est sa proximité génétique avec un autre coronavirus, le MERS-CoV, dont le réservoir animal est le dromadaire. Ce sindrome respiratoire du Moyen-Orient, apparu en Arabie saoudite en 2012, a fait 858 morts connus selon l’OMS (35% dei pazienti infetti sont décédés). Mais actuellement, preciso Liberazionerien ne prouve qu’en cas de mutation, le NeoCov deviendrait aussi Dangereux que le MERS-CoV.

“Ce sont des Chooses qui sont connues”

“La trasmissione zoonotique, le franchissement de barrière entre les espèces, est un risque, comme pour tous les coronavirus, mais ce n’est pas automatique, tempère égallement Jacques Izopet, chef du service de virologie du CHU de Toulouse de no Beauveco virus. trouvent leur origine chez des animaux, mais ce n’est pas dit qu’ils vont se transmettre à l’homme.”

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Car avant cela, il ya beaucoup de “si”: “Une exposition de l’homme au réservoir animal concerné, et ensuite le virus doit s’adapter suffisamment à l’homme pour pouvoir le transmettre de personne à personne.” Pas de panico donc. “Ce sont des Chooses qui sont connues et qu’il ne faut pas diaboliser.”

Le professeur Cyrille Cohen, immunologue interrogé sur la chaîne I24news, s’est montré aussi rassurant et affermate qu’il ne faut pas paniquer.

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