nouveau livre polémique, La France n’a pas dit son dernier mot, c’est une faute de frappe… dès la première phrase.
La France n’a pas dit son dernier mot. C’est le titre du nouveau livre d’Eric Zemmour, qui sera disponible jeudi en librairie. Il en a déjà beaucoup parlé. En plus des commandes sur plusieurs plateformes en ligne, ce qu’El Mojadel qualifie de “magazine de biographie politique” est perçu par certains comme une plateforme de nominations pour le prix de l’Elysée.
Ce mardi, le spectacle Quotidien, diffusé sur TMC, exposant ainsi les premières lignes… qui commencent par une faute d’orthographe.
“Je voulais citer les premiers mots du livre d’Eric Zemmour. On sait que chez Proust comme chez Balzac, la première phrase est la majuscule et résume tout le roman. C’est le cas pour lui aussi”, a commencé l’un des chroniqueurs. de Jan Barthes, un livre à la main.
Comme le souligne à juste titre le journaliste, il y a une faute de frappe dans la première phrase du roman :
Le polémiste a écrit : « J’ai péché, j’avoue… le péché d’orgueil, le péché d’arrogance… ».
Problème : Il fallait écrire « sin » et non « sin » indiquant la prise, donc. Le compte Twitter officiel de Bescherelle, ouvrage de référence en français, n’a pas tardé à répondre avec humour :
Les dangers de l’auto-édition
Après avoir édité cinq livres d’Eric Zemmour, la maison d’édition Albin Michel a annoncé en juin dernier qu’elle refusait de publier le prochain livre, puis l’argumentateur a décidé de s’en prendre à son éditeur pour sa rupture arbitraire de contrat.
Mais en attendant, Eric Zemmour a dû opter pour l’auto-édition, ce qui rend la relecture plus compliquée, et plus probable pour les fautes d’orthographe. Le journaliste du Quotidien conclut que “son grand livre sur la France commence par une erreur française”.
“Impossibile scrivere con i guantoni da boxe. Organizzatore freelance. Analista appassionato. Amichevole piantagrane. Drogato di pancetta.”