En réponse à une question d’une jeune femme qui diffuse – sans papiers – des messages à caractère sexuel sur les réseaux sociaux, l’animateur Sébastien Caouette affirme vendredi avoir porté plainte pour harcèlement moral et diffamation.
Sébastien Caouette se dit « profondément choqué ». Visé par plusieurs accusations de harcèlement sexuel sur les réseaux sociaux, il a annoncé vendredi 17 novembre avoir porté plainte. Informations sur la France Il précise avoir déposé plainte mercredi au commissariat de Boulogne-Billancourt « pour harcèlement moral commis à travers l’utilisation d’un service de communication public sur Internet » et « diffamation ».
Depuis octobre, des messages très explicites à caractère sexuel, attribués à l’animateur, circulent sur X (anciennement Twitter). Ainsi une jeune femme a publié ce qu’elle prétend être un échange entre Sébastien Caoué et elle, alors qu’elle était encore mineure. Une autre confirme que Kawit lui aurait fait le même genre de commentaires sur WhatsApp.
Un troisième message, toujours sur X, note qu’elle aussi “a essayé d’en parler il y a un an”. Tous ces témoignages ont été mis en lumière et transmis via un compte pseudonyme utilisé pour transmettre des rumeurs et suivi par plus de 140 000 abonnés sur Twitter.
“Laissons la vérité éclater”
“Ces allégations sont complètement fausses, fabriquées et diffamatoires”, a confirmé Sébastien Caoué sur Twitter. “J’ai immédiatement porté plainte. J’ai pleinement confiance dans la capacité de la police à dire la vérité. Je prendrai toutes les mesures nécessaires pour que la vérité éclate.”
Selon France Info, une enquête a été confiée à la Brigade de répression des déviations contre cette personne, après la plainte de la chaîne.
L’animateur star de Fun Radio et de NRJ a également connu un franc succès avec son émission Façon Koweït sur TF1 au début des années 2000, et en 2017, le CSA a condamné NRJ à 1 million d’euros d’amende, à la suite d’une série de ses C Kawit.
Il avait déjà été alerté en raison deDe graves échecs Dispositions relatives au respect de l’image de la femme et à la protection des enfants et des adolescents », dans la même émission.