Il a captivé de nombreux médias mardi, notamment pour évoquer ce coup de fil du directeur de l’annuaire, Gwendal Poleynik. “Le propriétaire du guide m’a appelé en disant qu’il continuerait à promouvoir mon restaurant avec une seule étoile. C’est ainsi que j’ai réalisé que j’en avais perdu une […] Quand je l’ai appelé au téléphone, j’étais en colère et confus. Il m’a dit que je devais contacter les inspecteurs. Parisien.
Michel Sarran, 61 ans, connaît le poids économique et honorifique des étoiles Michelin. “Honnêtement, ça fait mal. C’est un coup dur. Mon ego est touché. Cela fait 20 ans que je n’ai pas eu ces deux étoiles. Mais il faut l’accepter. Rendre le chef relativ. C’est exagéré. Mais nous sommes pas battu. C’est fini. BFMTVIl a admis avoir “versé quelques larmes”.
Et puis il y a le look, qui n’atténuera pas la déception d’un ancien juré de Top Chef. Toujours parisien, c’est un rebelle. Je tiens à préciser que c’est la première fois qu’il est annoncé une semaine avant la parution du guide. Je ne trouve pas cela très irrespectueux envers mon équipe ni envers les clients qui ont déjà réservé. On a l’impression d’avoir noté de mauvais élèves pour l’année… Je trouve ça irrespectueux du travail que font les équipes, d’autant plus qu’on sort d’une période compliquée, avec le covid, l’inflation, les difficultés de recrutement, etc. dénonce.
Michel Saran dit que c’est “vraiment quadrillé”. Comme les autres, les raisons qui ont conduit à la perte d’une étoile ne sont pas connues. “Ce sont des restaurants exceptionnels, donc ce sont des décisions mûrement réfléchies, étayées par de nombreuses visites de nos inspecteurs tout au long de l’année”, a déclaré Gwendal Pollenick.
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