C’est la première fois que vous vous souviendrez. Alexandra Bizagali a fait sa première apparition dans l’émission lundi Télématin en France 2 Mais… rien ne s’est passé comme prévu. Quand je suis arrivé sur le plateau, la télémétrie ne semblait pas fonctionner, provoquant un inconfort, le premier d’une longue lignée.
L’humoriste a ensuite poursuivi ce qu’il a pu avec sa chronique tentant de touches d’humour sur l’auteur de l’attentat du 14 juillet à Nice, qui a fait 86 morts et 450 blessés en 2016 — et son procès est ouvert lundi. Le teaser cinglant a affligé les téléspectateurs et les internautes.
Comme si cela ne suffisait pas, une fois la chronique controversée lancée, la page publicitaire a été lancée avant que le chroniqueur n’ait fini de parler. Rien de volontaire ne garantit que France TV éliminera toutes les rumeurs de censure.
L’humoriste elle-même a répondu à un post sur ses réseaux sociaux peu de temps après son “bad hype” dans lequel elle déclarait que, non sans humour, elle “ne peut pas attendre une seconde”.
Cependant, Parisien Il révèle une version plus précise. Selon ses informations, si l’actrice ne fait pas l’objet d’une “censure” au sens strict du terme, elle ne tiendra pas compte des réserves exprimées par les responsables du programme à la lecture de son texte.
Poussée par de nombreuses réactions, notamment sur les réseaux sociaux, la direction de France Télévisions a finalement tenu à s’excuser sur Twitter. “France Télévisions et Télématin regrettent qu’une chronique humoristique ait offensé autant de téléspectateurs. Nous présentons nos excuses et exprimons notre solidarité avec les victimes de l’attentat de Nice et leurs proches.”
Comme Christian Estrosi, maire de Nice, a réagi sur Twitter, qualifiant la date “Pas très content.”
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