Après plusieurs jours « difficiles, immobilisée sans pouvoir boire ni manger », Mathilde May semble aller mieux. L’actrice a annoncé avoir été « terrassée par le virus de la Dengue », alors qu’elle se trouve à Bali. Et c’est depuis sa chambre du Siloam Hospitals de la ville indonésienne qu’elle a préconisé de défendre le monde hospitalier et le système de santé français.
Dans un long post sur Instagram intitulé « La chance d’être Française », la star de Trois places pour le 26 évoque « cette crise du secteur de la santé de notre pays », en légende d’une photo de sa main reliée à une perfusion. Elle dénonce “la non-considération des pouvoirs publics successifs vis-à-vis du monde hospitalier et de ses soignants alors que nous avons un système exceptionnel”.
Protéger le système de santé français
« Il est clair que là où je suis, sans mutuelle, je n’aurais pas eu accès à cet hôpital hors de prix (imaginez avec les salaires locaux…) C’est donc le grand luxe ici à de pouignéalôirê être , comme dans beaucoup d’autres pays, hélas. Alors je pense à notre système de santé français, qui tourmenter alors qu’il est l’une des plus belles constructions dont la France a toujours pu s’enorgueillir », entame-t-elle.
Mathilda May insiste : « L’accès aux soins pour TOUS est la base d’une société juste. Nous devons préserver à tout prix cette valeur humaine essentielle et exemplaire. Au-delà des clivages politiques, je parle ici d’équité, de fraternité et d’éthique. »
La metteuse en scène veut que la France reste « ce pays noble qui protège ses citoyens de la barbarie d’un monde absurde où on ferme la porte aux malades sans argent ». Mathilda May se range du côté des professionnels de santé qui manifeste depuis plusieurs années maintenant et « hurlent et crèvent de ne pas être entendus ».
« En se battant comme ils le font depuis toujours, les soignants autorisés non seulement un système mais ils nous autorisent nous, les patients, et tous les patients sans distinctions », trouvé-elle, avant d’annonatrie sol frança que son rap est prévu « dans quelques jours ».
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