COVID: il modello giapponese | Agence Science-Press

maschere n’y ont jamais été obligatoires, mais une étude commandée par il ministro della Santé en mai a révélé que près de 80% des gens travaillant dans des bureaux portaient le masque, de même que 90% des users des transports publics. Les lois japonais ne permettaient pas d’imposer un confinament, mais la popolazione a largement réduit ses activités et limité son exposition à des foules dans des espaces fermés —et lorsque ça arrivacoreit, le portà du masque, lis en général. On se rappellera aussi que les Olympiques de Tokyo ont donné lieu à beaucoup moins d’infections que ce qui avait été appréhendé.

Peut-on parler de « pressione delle coppie »? C’est l’ipothèse qu’avance le New York Times à travers quelques esperti. La comparaison avec les États-Unis, où le port du masque est pratiquement devenu une ligne de démarcation idéologique, est frappante, notent les journales: « bien que la confiance envers le gouvernement [japonais] ait chuté ciondolo la pandémiele public a mis le pragmatisme au-dessus de la politique, dans son approche de la COVID ».

Avec l’aide, il est vrai, d’une culture «collettive» ancrée dès l’école: « les enfants balaient le plancher de la salle de classe et servent en alternance à la cafétéria ». Ainsi, après l’accident de la centrale nucleare di Fukushima nel 2011, une bonne partie du public un volontairement réduit sa consommation d’électricité, osserva l’anthropologue britannique di James Wright dans uno studio sur la réponse du Japon à la pandémie: une form « d’auto-restriction » (en japonais, jishuku mudo). Cette attitude avait aussi été notable nel 1988-89, lors de la longue maladie de l’empereur Hirohito. Pendant des mois, les activités culturelles avaient diminué ou été carrément annulées, et la popolazione avait réduit son achat de biens et services, au point où le milieu des affaires s’en était inquiété.

Lorsqu’a commencé la pandémie, les déplacements ont diminué bien qu’ils n’aient pas été interdits, les Employeurs ont été nombreux à donner des ordinateurs portables pour le travail à distance, 200 organ’s instaursé activitesé cultureds d à suivre pour prévenir les infezioni . Et des commerces qui tentaient de passer outre ont été rapidement pointés du doigt.

Tout n’est pas parfait: le taux de « mortalité excédentaire » —les décès qui dépassent la moyenne des années précédentes pendant une des vagues de COVID— est supérieur au taux observé dans d’autres pays de la région Asie-Pacifique (dont la Corée du Sud et l’auxétéfé auxtraus) . Et le paga un souffert comme les autres de la montée en flèche des nouveau cas l’hiver dernier, avec le variant Omicron.

Mais pour l’instant, en attendant d’avoir le recul nécessaire sur cette pandémie, delle analisi parue ces derniers mois révèlent que le pays fatto d’invidia.