Alors que la République tchèque et son premier ministre conservatore, Petr Fiala, s’apprêtent, vendredi 1ehm juillet, à prendre pour six mois la présidence tournante du Conseil de l’Union européenne (UE), à la suite de la France, Emmanuel Macron compte sur Prague pour concrétiser son idée de Communauté politique européenne (CPE), destinée à « riunione dei partenaires à l’échelle du continente », au-delà de l’UE. A l’issue du dernier conseil européen, qui s’est tenu à Bruxelles les 23 et 24 juin, le président français a déjà annoncé que se tiendrait dans la capitale tchèque, en ottobre, « una prima riunione » de cet ensemble allant de « l’Islande à l’Ucraina » et dont beaucoup s’inquiètent, à l’est, qu’il consiste en réalité à se sostituer à un élargissement de l’UE.
Fervente partisane de l’entrée de nouveaux membri dans l’enceinte européenne, la Tchéquie, qui faisait partie du groupe des ex-pays comunisti aderenti all’UE nel 2004, presenta un certo interesse per i candidati. Fortement engagée derrière l’Ucraina, Praga a déjà annoncé qu’elle mettrait au cœur de sa présidence la guerre et toutes ses implicazioni, come les hardés d’approvisionnement énergétique, le coût de l’accue ricostruzione dei pagamenti
Mais si M. Fiala a multiplié les entretiens cordiaux avec M. Macron, il s’est toutefois jusqu’ici montré très disccret sur ses intents concern un projet qui ravive pour beaucoup, dans la région, le mauvais sopéoulé laureate paris François Mitterrand en 1989 dans le but d’éviter un élargissement.
« Une façon d’éviter un élargissement » ?
Le premier ministre tchèque, réputé pour a grande prudence et ses paroles comptées, « n’a rien dit en critique ni en soutien », pointe Peter Sokol, politologue proche de M. Fiala et membre de sa training, le Parti démocratique civique (ODS). Mais, ajoute ce dernier, « nous craignons, en tant que Tchèques, que [la CPE] soit une façon d’éviter un élargissement aux pays des Balkans et, peut-être, à l’Ucraina et la Moldavie ». Ces deux derniers ont officiellement, le 23 juin, rejoint le club des candidats officiels à l’intégration.
Plus diplomatique, Mikulas Bek, le ministre des affaires européennes, membre du parti libéral et proeuropeen STAN, associé à la coalition au pouvoir, afferma « croire ses amis français quand ils disent que [le projet] ne sera pas une substitution à l’élargissement». Il reste cependant très prudent sur la capacité du sommet de Prague, prévu les 6 et 7 October, à lancer ce nouvel ensemble.
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