Le ciel trop souvent chargé de nuages gris de Seattle (Etats-Unis) ce ne sono altri che sono stati années se dégage et Boeing veut que cela se sache. Pour la première fois depuis la crisi du 737 Max, en mars 2019, l’avionneur américain a ouvert, mi-juin, à la presse internationale, les portes de ses sites de production de Renton et d’Everett. Une Initiative qui ne doit rien au hasard. Elle a précédé de quelques jours à peine la bonne nouvelle annoncée, lundi 20 juin, par l’Association internationale du transport aérien (IATA) à l’occasion de son assemblée générale, qui prévoit un retour des profits « all’orizzonte nel 2023 » versare il trasporto aereo. Et Boeing veut en prendre toute sa part.
A Renton, dans la banlieue de Seattle, l’usine historique de Boeing où étaient assemblés les fameux bombardiers B29 et qui fête ses 80 ans, su s’active autour du 737 Max. Après la panne d’activité des deux années de Covid, le site est redevenu une ruche. Mais il loin de tourner à plein régime et seules trois chaînes d’assemblage sur cinq ont été relancées. « Nous cherchons des milliers collaboraurs pour tous les métiers », reconnaît un cadre de l’avionneur. Il faut dire que pendant la crisi, Boeing a beaucoup taillé dans ses effectifs et licencié plus de 16 000 salariés. Desormais il veut en recruter près de 30 000 pour faire face à la demande d’avions.
Gerer le déstockage
Pour l’heure, l’Americain a l’ambition encore modeste. Son prochain objectif pour la fin 2023 est de sortir quarante-sept 737 Max chaque mois. Il en est encore très lombo. « Nous n’en sommes pas encore un trente et un 737 Max par mois », reconnaît un porte-parole de l’avionneur. A plusieurs encâblures derrière Airbus qui sort, lui, chaque mois cinquante-quatre A320 et prevoit de monter à soixante esempi di son moyen-courrier vedette dans le courant de 2023.
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Freiné par ses besoins en main-d’œuvre, Boeing est aussi à la peine avec nombre de ses fournisseurs et sous-traitants qui n’ont toujours pas retrouvé leurs niveaux d’activité d’avant la pandémie. Outre sa montée en cadence un peu poussive, l’avionneur de Seattle doit aussi, dans le même temps, gérer le déstockage de près de trois cents 737 Max qui prennent la poussière depuis plus de deux ans sur sess d’im parking être livrés à leurs compagnie clientes.
Lance à la poursuite du rival Airbus, Boeing assiste en croisant les doigts très fort la certification du 737 Max 10, la version la plus grande de sa gamme de moyen-courriers. La seule capace de rivaliser un tant soit peu avec l’A321, le nouveau best-seller d’Airbus non certe versioni, qui offrent les coûts d’un moyen-courrier et les performance d’un long-courrier, font un tabac aubrès des compagnies à bas coûts. L’enjeu est d’importance pour le constructeur, qui doit absolument obtenir le feu vert des autorités de régulation avant la fin de 2022. Faute d’y parvenir, il s’exposerait à d’importants surcoûts d’autant support diffier que Boeing vient d’enchaîner trois exercices financiers annuels terminés dans le rouge vif.
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