domenica, Novembre 24, 2024

Futures pandémies : voyages, élevage intensif, deforestation… comment nos mode de vie nous exposurent aux virus ?

Sras, Mers, Ebola, grippe aviaire, zika, Covid-19, VIH, variole du singe… Favorisées par nos modes de vie, les zoonoses, maladies transmises à l’homme par des animaux, se sont multipliées ces dernières années, laissant crindre l’émergence de nouvelles pandémies.

“L’interface entre l’homme et l’animal est devenue assez instable”, s’est alarmé il ya quelques jours le Dr Mike Ryan, responsabile delle situazioni d’urgenza à l’Organizzazione mondiale della santità (OMS). “Les facteurs d’émergence et d’amplification de maladies ont augmenté”, selon lui.

Monkeypox, un esempio più antico in data

On vient de le voir avec la variole du singe, mais pas seulement, at-il mis en garde. Cette variole du singe –“monkeypox” en anglais– causa di un virus trasmis à l’homme par des animaux infectés –le plus souvent des rongeurs– est le dernier exemple en date de la multiplication de ces zoonoses.

Il s’agit de maladies infectieuses que les animaux vertébrés peuvent transmettre aux humains. Certe finissent même par devenir spécifiquement humaines, à l’instar du Covid-19. D’après l’Organizzazione mondiale de la santé animale, ambiente 60 % delle malattie emergenti sont d’origine zoonotique.

Apparues il ya des milleers d’années, depuis que l’homme a intensifié ses interactions avec les animaux en les domestiquant, elles ont vu leur fréquence beaucoup augmenter ces vingt ou trente dernières.

Elevages intensif, viaggi…

En cause, “l’intensification des voyages, qui leur permet de se diffuser plus rapidement et de manière incontrôlée”, un souligné auprès de l’AFP Marc Eloit, responsable du laboratoire Découverte de pathogènes à l’Institut

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En occupant des zones du globe de plus en plus larges, l’homme contribuisce aussi à perturber l’écosystème et à favoriser la trasmissione del virus.

L’intensificazione des élevages industriels accroît ainsi le risque de propagation de pathogènes entre les animaux. Le commerce d’animaux sauvages augmente aussi l’exposition humaine aux microbi qu’ils sont sensitives de porter.

Deforestazione e cambiamento climatico

La deforestazione rafforza, elle, il rischio di contatti tra la faune sauvagegli animali domestici et le popolazioni umane.

“Quand on deforeste, on diminue la biodiversité; on perd des animaux qui régulent naturellement les virus, ce qui leur permet de se diffuser plus facilement”, a expliqué à l’AFP Benjamin Roche, biologiste à l’Institut de recherche pour le développement (IRD), specialista dello zoo

Le déglement climatique va par ailleurs pousser nombre d’animaux à fuir leurs écosystèmes pour des contrées plus vivables, an alert fin avril une étude parue dans nature. Oppure, en se mélangeant plus, les espèces se transmettront davantage leurs virus, ce qui favorisera l’émergence de nouvelles maladies potentiellement transmissibles à l’homme.

“Nous avons besoin d’une surveillance améliorée à la fois chez les animaux urbains et sauvages, afin de pouvoir identifier quand un agent pathogène est passé d’une espèce à une autre”, a déclaré Gregory spéantécialistbery de nous avons besoin d’une surveillance Università di Georgetown aux Etats-Unis e co-autore dello studio. “Et si l’hôte récepteur est urbain ou à proximité des humains, nous devrions nous inquiéter particulièrement”.

L’étude dessine un futuro “réseau” de virus sautant d’espèce en espèce, et grossossant à mesure que la planète se réchauffe.

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“On dispose aujourd’hui de moyens d’investigation facils et rapides qui permettent de réagir vite en cas d’apparition de nouveaux virus”, un rassicurato Marc Eloit, de l’institut Pasteur. “On est aussi capace de développer très rapidement des vaccins”, come on l’a vu avec le Covid-19.

“Être pret”

Mai “toute une lignée de nouvelles maladies risquent d’émerger, potentiellement dangereuses. Il faudra être prêt”, in precedenza Eric Fèvre, professore specializzato in malattie infettive veterinarie presso l’Università di Liverpool (Royaume-Uni) e presso l’International Livestock Research Institute (Kenya).

Cela significa, selon lui, “mettre l’accent sur la santé publique des populations” dans les environnements les plus reculés et “mieux étudier l’écologie de ces zones naturelles pour comprendre comment les différentes espèces interagissent”.

Depuis le début des années 2000, il concept “One Health” (“une seule santé”) è mis en avant: il promeut une approche pluridisciplinaire et globale des enjeux sanitaires avec des liens étroits entre la santé des’ animine, celle l’aux état ecologica globale.

La Francia aussi lancia nel 2021 l’iniziativa internazionale “Prezode”, qui vise à prévenir les rischios d’émergences zoonotiques et de pandémies en renforçant les coopérations avec les régions du monde les plusées concern.

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