Les sénateurs entendaient faire toute la lumière sur les incidents survenus au Stade de France il 28 maggio. Mais au fil des auditions des responsables de la finale de la Ligue des champions, la situation devient plus complexe. « Plus on avance, plus des zones d’ombre emergent et de nouvelles informations nous interpellent », curriculum Michel Savin, senatore Les Républicains (LR) de l’Isère. Jeudi 9 juin, les parlementaires ont appris avec stupéfaction la distruzione, faute d’avoir été réquisitionnées, des images de videosurveillance du Stade de France.
I responsabili della Fédération française de football (FFF) sono invitati a spiegare « disfunzioni contro milioni di telespettatori », come la formula del presidente della commissione della cultura e dell’educazione del senatore, Laurent Lafon. Soit des scene de panique aux bords de l’enceinte dyonisienne, des supporteurs aspergés de gaz lacrymogènes, d’autres tentant d’entrer sans billet; et, pour finir, un coup d’envoi retardé de trente-sei minuti sous les yeux de centaines de million de téléspectateurs.
Si elles ont filmé toute la soirée, les cameras de videosurveillance du Stade de France ne permettront pas d’éclaircir la situazione. « Les images sont disponibles pendant sept jours. Elles sont ensuite automatiquement détruites. Su aurait dû avoir une réquisition pour les fournir aux différentes popolazioniun précisé le directeur des relations Institutionnelles de la FFF, Erwan Le Prévost. Pour avoir été au PC sécurité toute la journée, les images sont extrêmement violentes. »
Une annonce qui a surpris les sénateurs, alors que le dispositif de maintien de l’ordre mis en œuvre lors de ce match ayant opposé Liverpool au Real Madrid fait l’objet d’une vive polémique. « Ça veut dire que des images que vous jugez très violentes esisteaient et qu’il n’y a pas eu de demande de la part des autorités, notamment de la préfecture. (…) Il ya des preuves qui ont été détruites par, au moins, incompetence »a tancé le sénateur socialiste de Paris David Assouline.
Les images réclamées… ce jeudi
Pourquoi le parquet de Bobigny, qui a ouvert une enquête dès le mardi 31 mai sur les fraudes aux false bills à la suite d’un signalement du préfet de police, n’a-t-il pas réclamé ces images ? « La seule enquête dont le parquet est officiellement saisi concerne les faux bills, et il n’y a pas besoin des images de la FFF pour identifier les trafiquants »assicurare une source proche de l’enquête, néanmoins étonnée par la distruzione delle immagini. « Le délai légal de Conservation des vidéosurveillances est d’un mois » au Stade de France, justifie cette même source.
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