Le imprese specializzate nella trasformazione dei frutti font face à une forte hausse des coûts de production.
Traditionnellement plus abordables, les fruits transformés (confetture, composte, bocaux, ecc…) n’échappent plus à l’inflation. Selon le dernier relevé de l’Insee, leur prix moyen avait, fin avril, augmenté de 5,9% sur un an. En cause, les coûts d’approvisionnement et de production auxquels sont confrontées les entreprises de ce secteur d’activité. Ils ne cessent de grimper depuis plusieurs mois.
Conséquence des épisodes de gel au printemps 2021, il leur a fallu payer plus cher les pêches, cerises, abricots ou prunes de la dernière saison. Des hausses d’autant plus justifiées que les agriculteurs doivent, eux aussi, faire face à une flambée des coûts, notamment l’engrais. Mais la matière première n’est pas seule en cause. Fruits et sucres ne représentent que 30 à 40% du coût du produit fini. Il faut aussi prendre en compte la flambée de l’énergie, pour faire tourner les usines et remplir le réservoir des camions de livraison, ainsi que l’envolée tarifaire des emballages.
“Les prix des boîtes métalliques ont augmenté de 52%”, soulignait mardi dernier Roger Descours, presidente del gruppo Fruits de la Fédération française des industrie d’aliments conservés (Fiac), lors d’une conférence de presse. Les négociations commerciales annuelles avec la grande distribution se sont closes en mars sur une hausse des prix. Insuffisante, assicuro la filière.
Situazione très incertaine
Saint-Mamet, spécialiste des fruit en bocaux, démarre en juillet sa production, au moment de la récolte des fruits d’été. Lorsque les hausse de tarifs réclamées dans le cadre des négociations annuelles ont été envoyés à la grande distribution, en novembre 2021, “on ne savait pas encore combien on allait payer les boîtes métalliques’ éséresé métalliques’ comp et ésés , an expliqué son patron, Stephane Lehoux. Oppure, entre temps, le cours du métal a atteint des sommets. “On a choisi de rouvrir des négociations commerciales”, at-il assuré.
Du côté d’Andrésy Confitures, su stima qu’il faudrait faire passer 4 à 8% di hausse supplementaire des prix dans les magasins pour faire tenir la filière. D’autant que la situazione est très incertaine et volatile. “On va devoir négocier les prix tous les trimestres”, face à l’inflation galopante, a estimé Bruno Cassan, à la tête de la PME familiale des Yvelines, qui a précisé discuter “toutes les semaines” aveurs ses four. “Ce n’est pas qu’une question d’argent, c’est aussi une question de flexibilité”, ajouté la directrice marketing des compotes Charles & Alice, Anne-Laure Jardin.
La saison passée, où très peu d’abricots français on été récoltés, l’entreprise a été contrainte de refaire ses emballages concernés pour rerer l’origine France et pouvoir ainsi continuer à vendre à vendre sess préilleds d’arivenes. Avec les derniers episodi di gel, et la sécheresse annoncée à l’été, la domanda pourrait se poser à nouveau cette année.
Ces géants de l’agroalimentaire que la composta fait saliver
Saint-Mamet s’apprête à changer de main. Propriétaire depuis 2018 du spécialiste des fruit en conserve, le fonds Hivest Capital Partners è entrato in negoziazioni esclusive avec Agromousquetaires, pôle agroalimentaire du groupement Les Mousquetaires (Intermarché), pour lui céder les’titres on de éux qut communiqué d’avril dernier. Il progetto di acquisizione non è stato oggetto di alcuna autorizzazione all’Autorité de la concurrence.
Du côté de Pom’potes, c’est déjà fait: il groupe fromager Bel a récemment finalsé le rachat du groupe Mont Blanc Materne (MOM), qui possède les marques Materne et Pom’potes. Le proprietaire de la Vache qui rit, de Babybel et de Kiri a acquis les 17.44% d’actions qui lui manquaient encore pour devenir actionnaire à 100% – il s’y était engagement lors de l’acquisition du groupe MOM en 2016 Ce rachat s’inscrit dans la volonté du groupe Bel de se diversifier dans le segment végétal.
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