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Vaccinazione, l’avant-après Covid-19

pubblica le dimanche dal 08 maggio 2022 alle 07:00

La produzione annuelle, pré-épidémie, était de 5 miliardi di dosi di vaccini… Auxquelles se sont ajoutées au moins 11 miliardi di dosi di vaccini Covid produites en 2021

Ils n’ont jamais autant fait parler d’eux que depuis la pandémie de Covid-19 : tour d’horizon du secteur dei vaccini.

Versare quoi, versare qui?

Il esistere désormais des vaccins pour plus de 20 maladies potentiellement mortelles et la vaccinazione permesso d‘éviter 2 à 3 million de decès par anselon l’Organizzazione mondiale della santità (OMS).

Jusqu’au Covid-19, la vaccination concernait le plus souvent des catégories précises: les enfants (polio…) mais aussi les plus âgés ou les personnes immunodéprimées, avec par exemple le vaccin contre la grippe.

La produzione annuale, pré-épidémie, était de 5 miliardi di dosi… Auxquelles se sont ajoutées au moins 11 miliardi di dosi di vaccino Covid produites en 2021.

Si, pour le coronavirus, un sérum a été rapidement trouvé, ce n’est toujours pas le cas pour nombre de maladies infectieuses, comme le VIH. En outre, l’inégalité vaccinale, mise en évidence avec la pandémie, concerne d’autres virus o bactéries pathogènes. Selon l’Inserm, 140.000 décès liés à la rougeole ont ainsi été enregistrés dans le monde en 2018, surtout chez des enfants de pays à faibles revenus.

Varianti delle tecnologie

Depuis la découverte du premier vaccin anti-variole par the médecin britannique Edward Jenner, au 18e siècle, la panoplie de sérums s’est considérablement étendue. Les plus traditionalnels sont les vaccins utilisant la tecnologia del virus inattivo : il virus è più facile da conservare nella capacità di indurre la creazione di anticorps (vaccino grippe). La tecnologia del virus è presente est proche : l’agent infectieux est affaibli via divers processus chimiques (vaccin ROR: rougeole, oreillons, rubéole, ecc.).

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S’y sont ajoutées plus recemment d’autres technologies comme les vaccins sous-unitairestu bis le vaccinazioni à vecteur virali : ces derniers utilisent un adénovirus comme “vecteur” pour presenter au système immunitaire un fragment du virus contro lequel on veut que l’organisme produise des anticorps (vaccin contro Ebola).

derniers arriva, i vaccini con il messaggio ARN.

De nouveaux acteurs

Traditionnellement, le monde des vaccinis et restreint à quelques grands laboratoires car les investissements nécessaires au développement d’un nouveau sérum sont très importanti. “C’était la chase gardée de quelques happy pochi. L’ARN messager redistribue les cartes”, giudice Loïc Plantevin, esperto santé du cabinet de conseil Bain and Company.

Quatre mastodontes concentraient pré-pandémie 90% du marché en valeur : les americane Pfizer et Merck, le britannique GSK et le français Sanofi. Mais aucun, sauf Pfizer – uniquement via un partenariat avec la biotech allemande BioNTech -, n’a réussi à s’imposer dans la course contre le Covid.

La pandemia di Covid-19 a révolutionné ce secteur fermé avec l’emergere di biotecnologie come BioNTech e l’americano Modernaall’origine dei primi vaccini all’ARN.

Sans oublier les nouvelles régions productrices. Face à l’inégalité d’accès aux dosis, l’OMS a lance un programma visto à implanter des sites de vaccins ARN dans six pays d’Afrique dès 2024.

Iniziative d’autres sont mises en place, par esempio un’impresa collaborativa Drew Weissman, l’un des développeurs de la technologie de l’ARN messager, et la Thaïlande, pour donner accès à des vaccins aux populations des pays à bas revenus.

Des actions importantis pour la souveraineté sanitaire mais envisageables seulement pour la technique de l’ARN messager, estime Loïc Plantevin, pour qui “les technologies traditionalnelles restent, elles, compliquées à déployer et à délocaliser”.

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Quelles piste pour l’avenir?

Avec le Covid, des milliards de dollars ont irrigué le secteur des maladies infectieuses, souvent moins porteur pour les gros laboratoires que des aires thérapeutiques comme l’oncologie.

Depuis, les iniziative si moltiplicano. Moderna veut notamment faire progresser le développement de vaccins ciblant la dengue, Ebola ou le paludisme. Sanofi, qui a enregistré un revers face au Covid, a égallement lancé des investissements massifs dans les vaccins à ARN.

L’ARN messager sera-t-il pour autant la réponse à toutes les maladies infectieuses? Verra-t-on bientôt un vaccin contre le VIH? “La technologie de l’ARN an encore besoin de temps, avec des améliorations” à apporter, prévient Loïc Plantevin. Notamment pour la conservazione, point faible de cette technologie.

Toutefois, “la pandémie a mis un coup d’accélérateur et rappelé la necessité de ha continuato l’innovation dans les vaccins”, ajoute le spécialiste.

Il premio Nobel per la medicina e il virologo Charles Rice le disait à l’AFP fin 2020 : la crise du Covid a dans tous les cas “vraiment changé la façon dont on fait de la science, pour en faire un effort commun plutôt que de travailler dans différents laboratoires, isolés, comme on le faisait il ya des années”.

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