le vaccin contro il papillomavirus encore trop méconnu

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le vaccin contro il papillomavirus encore trop méconnu

Le infezioni da papillomavirus umano (HPV) sont responsables de plusieurs cancers. Il existe pourtant un vaccin, à destination des adolescents – garçons et filles -, mais que les Français n’ont pas encore largement adopté.

Face à certes cas, Jean-Luc Prétet è “dépité”. Ce professeur de cancerogenèse associée aux papillomavirus human (HPV) à l’université Bourgogne-Franche-Comté dit recevoir “malheureusement parfois des appels de Patients avec des lésions de haut grade ou des cancers qu’ilérer faut”. “Certe donne giovani femmine auraient pourtant pu être vaccinées contre les HPV quand elles étaient plus jeunes”, commente-t-il auprès de BFMTV.com.

“C’est terrible de se dire qu’on a un outil de prévention efficace mais qu’il n’est pas largement utilisé. Terrible de se dire qu’on pourrait éviter tous ces cancers.”

Car les HPV – qui se transmettent par contact des muqueuses ou de la peau, presque Exclusivement lors d’un rapport sexuel avec ou sans pénétration – peuvent être particulièrement dangereux. C’est l’infection sexuellement trasmissibile la plus fréquente dans le monde: huit hommes et femmes sur dix y seront exposés durant leur vie.

Chaque année, quelque 6300 cas de cancers liés aux HPV sont diagnostiqués en France, chez les hommes comme chez les femmes. Des cancers qui causent 2900 morts, rappelle La Ligue contre le cancer.

Una vaccinazione insuffisante

Et pourtant, il existe un vaccin, à destination notamment des adolescents. Mais plus d’un quart des parents ne sont pas favorevolis à la vaccination de leurs enfants contre les papillomavirus humains (HPV), révèle une enquête Opinionway pour La Ligue contro il cancroà l’occasione della Semaine européenne de la vaccination, qui s’achève ce dimanche.

Aujourd’hui, la couverture vaccinale reste largement insuffisante, elle est même en baisse. En 2020, seules 41% des adolescentes avaient reçu une dose à 15 ans et un tiers un schéma vaccinal complet à 16 ans (la vaccination est recommandée aux filles depuis 2007). Tres loin de l’oggetto del 60% fisso sul piano del cancro.

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Quant aux garçons, bien que le vaccinés’ adresse aussi à eux – il est recommandé depuis 2019 et remboursé depuis 2021 -, proportion de vaccinés est à peu près insignifiante.

Per Jean-Luc Prétet, égallement directeur du Centre national de référence papillomavirus, la people n’est pas suffisamment informée sur les HPV. Il appelle à un engagement politique plus fort, “peut-être faudra-t-il que cela passe par une obligation vaccinale”. Ce que confirme l’étude d’Opinionway: les HPV sont encore méconnus de plus de la moitié desparents et un tiers d’entre eux ne sont pas convaincus de l’interêt de cette vaccination.

“Quand on le détecte, c’est trop tard”

Pourtant, elle permet de prévenir les diseases par les papillomavirus les plus fréquents, responsables, chez la femme, de 70 à 90% des cancers du col de l’uterus, indique l’Assurance maladie. Le infezioni dell’HPV possono essere visualizzate nella sfera ORL, l’anus, la vulve, le vagin et le pénis et y développer des cancers.

Laurence Rouloff, 41 anni, presidente dell’Association Akuma, base in Haute-Garonne, un développé un HPV au niveau de la sphère ORL – transmis par sa mère à sa naissance – puis au col de l’utero.

“Toute ma vie a tourné autour de ça”, confie-t-elle à BFMTV.com. J’en ai bavé. J’ai été opérée au moins une fois par an depuis que j’ai 5 ans, parfois jusqu’à quatre fois dans la même année. Et à 14 ans, il ne me restait plus que 5% de ma trachée pour respirer. J’ai failli y passer.”

Laurence Rouloff interviene sul regolamento dei colleghi della regione per sensibilizzare i giovani sull’HPV e la possibilità di vaccinazione. “C’est un virus qui ne se voit pas, ne se ressent pas et ne se dépiste pas, hormis pour le col de l’utérus”, insiste-t-elle. “On ne peut pas savoir si on a été infecté. Il peut rester en lance pendant plusieurs années et quand on le détecte, c’est trop tard.”

“Il faut que les genitori comprennent que vaccinor leurs enfants, c’est une chance, c’est de leur avenir qu’il s’agit.”

La vaccinazione de 11 à 19 ans

Comme le rapelle Servizio info vaccinazioni, le infezioni par les HPV sont le plus souvent sans symptôme. Si dans la plupart des cas, il virus s’élimine naturellement en un à due deux ans, dans 10% des cas, il peut entraîner la formation de lésions. “L’évolution est lente entre l’infection à HPV, l’apparition de lésions précancéreuses, et celle d’un cancer”, pointe la Haute Autorité de santé. Elle peut prendre dix à vingt ans.

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Se i genitori francesi se montrent méfiants, le vaccinano a pourtant fait ses preuves à l’étranger. En Suède, les lésions précancéreuses ont chuté de 75% chez les jeunes filles vaccinées. En Australie, où una grande campagna di vaccinazione a été lacée, proporzionata de personnes infectées par les HPV est passée de 23% à 1,5%.

Après des recommandations fluctuantes à ses débuts – notamment sur le fait que les jeunes ne devaient pas avoir débuté leur vie sexuelle – le vaccin s’adresse à toutes les filles et tous les garçons de 11 volus. Il est cependant possibile d’en bénéficier en rattrapage, de 15 à 19 ans révolus, avec trois dosi au lieu de deux.

Pour les hommes qui ont des relations sexuelles avec des hommes, la vaccination est par ailleurs recommandée jusqu’à 26 ans en prévention des lésions précancéreuses anales, des cancers anaux et des condylomes (également appelés verrues génitales).

Un point sur lequel insiste Jean-Luc Prétet, le directeur du Centre national de référence papillomavirus: “Il faut vaccinor les garçons, que ce soit pour se protéger eux-mêmes mais aussi dans une démarche de santé publique”.

“J’aurais bien obiettivo être vaccinée”

C’est pour cela qu’Audrey, une écrivaine de 39 ans, a déjà prévenu son fils qu’il serait vacciné. “Il n’a que 8 ans et demi mais je suis au taquet”, témoigne-t-elle pour BFMTV.com. Cette jeune femme sait combien la vaccination peut sauver des vies: elle conserve encore des séquelles de la coqueluche, contractée plus jeune, maladie contre laquelle elle n’avait pas été vaccinée.

“Plusieurs de mes amies ont développé des cancers liés à une instance par HPV. Moi même j’aurais bien aimé être vaccinée, j’ai cherché à le faire mais c’était trop tard. Je ne at veux fil que pas virus” ou le transmette à sa compagne ou son compagnon futur.

Plusieurs vaccins esistente mais la Haute autorité de santé recommande le Gardasil 9 pour une première injection. “Il protège contre 90% des cancers liés aux HPV”, dettaglio Jean-Luc Prétet. “Il est plus protecteur que les autres. Il protège contre sept HPV àut risque cancérogène, sur une douzaine de HPV àut risque, et contre deux condylomes.”

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