venerdì, Novembre 22, 2024

Pour une réforme de la façon de publier la science

On a commencé à entender parler de « crise de la reproductibilité » en 2011 en psychologie: d’une part, une recherche a démontré combien il était facile pour un chercheur dans cette discipline de trouver des « faux positifs », soit des donluiées « prouveraient » qu’il a raison; d’autre part, il ya eu un débat acrimonieux autour d’une expérience «classique» de 1996, citée plus de 2000 fois depuis, mais jamais reproduite.

Par le mot “reproductibilité”, on fait référence à une réalité fondamentale aux avancées scientifiques depuis des siècles: pour être accettabile, une “découverte” doit pouvoir être reproduites par chercheautres. Autrement dit, une seule recherche pour une affermazione « révolutionnaire », ça ne suffit pas.

Mai l’idée d’une crisi della riproducibilità un gagné d’autres discipline que la psicologie. Gli studi sulla nutrizione ont ainsi perdu beaucoup de leur lustre dans la dernière décennie, un trop grand nombre d’entre elles semblant être faites sur mesure pour attirer l’attention du public et des médiaséstriment, qualit le sé

Enfin, bien qu’on se doutait depuis longtemps qu’une bonne partie des recherches biomédicales dites « préliminaires » n’aboutissaient pas à des percées prometteuses lorsqu’on fouillait plus en profondeur, l’amplificatore del problema una sorpresa, raconte une giornalista du Nuovo scienziato : en 2011, une étude interne de la compagnie Bayer concluait que i due livelli des pistes suivies par la compagnie à partir de recherches universitaires, n’aboutissaient pas. En 2012, la compagnie Amgen ajoutait que sur 53 études jugées importantes, soluzione 5 avaient pu être reproduites. C’est en partie la raison pour laquelle, dans la dernière décennie, des journales scientifiques se sont mis à marteler encore plus souvent qu’avant qu’il faudrait être très prudent avant de parler d’une étude qui » ne porte des sours. Ou pire encore, avant de monter en épingle ses résultats « incoraggianti ».

READ  Sbloccare il rapporto tra fantascienza e brevetti

Dernier facteur: les pressions exercées sur les chercheurs par le système des universités et des organismes subventionnaires pour publier le plus souvent possible —le fameux « publier ou périr ». Il ya par esempio longtemps qu’on constate un biais vers les résultats « positivi », parce que les chercheurs dont l’étude a abouti à des résultats negativi seront moins enclins à prendre du temps pour écrire l’article. Et il ya longtemps qu’on seplaint de la tentation qu’ont Certaines revues à monter en épingle certi titoli, pour attirer davantage l’attention. Una pista di soluzione possibile: imporre un «pré-enregistrement» des recherches, qui obligerait les chercheurs à décrire leur hypothèse et leurs objectifs, et qui les empêcherait d’en certo changer en cours de route, pour satisfaire de aux critaire.

Altre piste di soluzione possibili: cesser d’accorder autant d’importance, dans les évaluations des chercheurs, au « facteur d’impact » des revues —c’est-à-dire qu’une pubblicazione dans une revue à haut facteur d’ impatto donne più «punti» per l’avanzamento della carriera, aumento della tentazione del pubblico delle ricerche aux sujets più « accrocheurs ».

L’approche du « pré-enregistrement » est notamment moussée par le Ricerca riproducibilità, un organismo britannico qui s’est donné pour missioner des réformes à la façon de faire du milieu scientifique. Le Centro per la scienza aperta, un organismo americano, propone un “ethiquette” pour identifier les recherches qui ont été “pré-enregistrées”, e une autre pour celles dont accept les chercheurs not accepté de partager la totalità delle donne. Le National Institutes of Health, le plus gros organisme subventionnaire de la recherche en santé aux États-Unis, imponera l’ an prochain que tous les récipiendaires partagent leurs données.

READ  Il "futuro dei videogiochi", questo megagioco di fantascienza mette in risalto le sue qualità grafiche, perché Star Citizen è mozzafiato!

Dan le reportage recente du Nuovo scienziato, la giornalista scientifica Clare Wilson conclut que toutes les personnes concernées par ces réformes semblent s’entendre pour dire qu’il ya eu des progrès pour répondre aux “signaux d’alarm” entendus dans la dernière décen. «Presque tous ont dit que c’était bien parti —mais qu’il y avait encore beaucoup de chemin à faire».

Ultime notizie
Notizie correlate