La croissance francese se tasserait plus que prévu du fait de la guerre in Ucraina

AFP, pubblicò il martedì dal 12 aprile 2022 alle 21:02

La croissance française devrait se tasser plus que prévu au premier trimestre 2022, à 0.25%, la guerre en Ukraine pénalisant déjà nettement plusieurs secteurs industriels, a stima mardi la Banque de France.

La banca centrale française an abaissé sa précédente prévision de croissance qui était de 0,5%, quand l’Insee tablait encore mi-mars sur une progression du produit intérieur brut (PIB) de 0,3% au premier trimestre.

“Après avoir retrouvé son niveau d’avant-crise durant le troisième trimestre 2021, plus tôt que la moyenne européenne, le PIB (produit intérieur brut) resterait en croissance”, au premier trimestre 2022, mais du modfaç de l’environnement international” , estime la Banque de France dans son enquête mensuelle de conjoncture. Au dernier trimestre 2021, le PIB avait progressé de 0,7%.

Ce ralentissement de l’économie française semble confirmer que la croissance sera sur l’année bien inférieure au 4% prévu initialement par le gouvernement, et le ministre de l’Economie Bruno Le Maire e d’aillejurment indiré que déré vision prochainment.

Mi-mars, l’Insee avait indiqué s’attendre à une consommation des menages en recul de 0,5% au premier trimestre, alors que leur pouvoir d’achat devrait avoir reculé de 1.4% du fait de l’inflation. C’est un élément d’inquiétude pour la croissance française, la consommation étant traditionnellement son principal moteur.

“Le mois de mars a été marqué par la guerre en Ukraine dont les premières conséquences se font sentir sur l’économie française. En outre, face au recovery de l’épidémie de Covid-19, la Chine a réinstauré des mesures de confinamento dans “Certes régions, ce qui a pu renforcer les hardés d’approvisionnement”, des entreprises, explique aussi la banca centrale francese après avoir interrogé plus de 8.000 entreprises pour son enquête.

– “Percorso più glissante” –

“Le choc est beaucoup moins brutal que le choc Covid d’il ya deux ans, mais il pourrait durer plus longtemps et affettier notre croissance et l’emploi”, a prévenu le gouverneur de la Banque de Franceçois Villeroy de Galhau entre aux journaux du groupe Ebra (L’Est républicain, Les dernières nouvelles d’Alsace, le Dauphiné libéré, ecc.).

“Incontestablement, nous allons devoir traverser des temps économiques plus difficiles. L’économie française avance sur une route qui est devenue plus glissante”, at-il ajouté.

Si l’attività a continué de progresser au premier trimestre, c’est surtout dans le secteur des services, notamment dans l’hôtellerie-restauration, qui se remet progressivement de la fin des limits sanitaires liées à l’épidémie.

En revanche, dans l’industrie, la situazione est plus contrastée. Dès février, la production industrielle française avait pris par surprise les observateurs, en reculant de 0,9%, selon les données de l’Insee, et la situazione se encore aggravée en mars.

Dans l’automobile, dont les chaînes d’approvisionnement sont très affettiées par le conflit in Ucraina, 89% des entreprises interrogagées par la Banque de France affermante désormais faire face à des hardés d’approvisionnement, soit 10 points de plus qu’en février .

Autre conséquence de la guerre, les entreprises de l’agro-alimentaire subissent elles aussi des problèmes d’approvisionnement, le pays étant un fournisseur important, notamment d’huile et tourteaux de tournesol. Elles sont désormais 59% à relatore di difficoltà, contre 45% en février (+14 punti), souligne la Banque de France.

Pour le mois d’avril, la banca centrale pointe une situation de “forte incertitude”, notamment dans l’industrie, même si les entreprises s’attendent toujours une légère croissance de leur activité. Les services resteraient bien orientés, alors que les entreprises du bâtiment entrevoient une “très légère baisse” de leur activité.

Outre les perturbations des chaînes d’approvisionnement, l’inflazione suscite l’inquiétude. Elle a bondi à 4,5% en mars, son plus haut niveau depuis les années 1980, stimulée par la flambée des prix de l’énergie.