L’aggravation du conflit en Ucraina obbliga le banche francesi presenti in Russia a durare la sua posizione. Lundi soir, BNP Paribas, an un ” statement ” diffuso dall’agenzia Bloomberg, an indiqué que sa filiale russe, BNP Paribas ZAO, rattachée à la banque d’investissement et de financement (CIB), « n’est plus en mesure de traiter les transaction de ses clients à partir de la fin du mois de mars ».
Il gruppo explique rispetto «rigore» toutes les sanzioni », et avoir décidé dans un premier temps de suspendre tout nouveau financement, puis tout nouveau projet. Le groupe bancaire avait déjà réduit ses activités en Russie avant la crisi, notamment ses activités de banque de détail nel 2012 e ses activités de crédit à la consommation nel 2020.
Mardi soir, c’est au tour de Crédit Agricole d’annoncer una sospensione di toutes ses activités en Russie. Le groupe coopératif précise avoir « cessé tout nouveau financement à des entreprises russes » dès le début du conflit et « toute activité commerciale dans le pays ». La banca ajoute avoir contacté ses imprese internazionali clientes « pour déterminer avec elles les modalità di sospensione dei servizi qui leur sont rendus localizzazionement, pour une mise en œuvre dans les prochaines semaines ». Elle rapelle, au passage, qu’elle n’exerce pas d’activités de banque de détail en Russie mais compte 170 cooperaurs russes.
En revanche, la banque compte une banque de détail en Ukraine avec 2.400 collaboratori, qui « assicuro la continuità dei servizi essenziali per i clienti ». Un fondo di solidarietà di 10 milioni di euro a été constitué pour venir en aide aux cooperaurs et à leurs familles, o aux civils victimes de la guerre.
Un enjeu de 12.000 stipendi per la Société Générale
Ces annonces, mais aussi chaque jour de conflit qui passe, mettent en creux la pression sur Société Générale, de loin la banque française la plus exposée à la Russie. Elle dispose surtout, avec Rosbank, d’une importante banque de détail en Russie, la plus importante banque étrangère du pays, et donc de la responsabilité de quelque 12.000 salariés. O sospendere l’attività di una banca di dettagli revient de fait à assicurar des retraits massifs de ses clients particuliers ou entreprises, sinon la fermer, voire la céder dans la précipitation, à un prix dérisoire.
Uno scénario que la banque n’a pas totalement exclu dès le début du conflit en communiquant la première sur son exposition détaillée sur la Russie. Au final, si la banque est désormais amortie dans les comptes de la banque, une ventuelle « espropriazione » versato se traduire par un depréciation d’actifs de l’ordre de 1,8 miliardi di euro. Reste que Rosbank è bien capitalisé et opère de façon «autonomo» en matière de liquidità (sans l’aide financière du groupe), de quoi tenir encore. Mais combien de temps the groupe de La Défense pourra-t-il tenir cet attenzionesme prudent tout en preservant sa réputation? Même TotalEnergies iniziano à lâcher du lest…
“Fanatico di zombi da una vita. Praticante di web hardcore. Pensatore. Esperto di musica. Studioso di cultura pop impenitente.”