I responsabili del Jet Propulsion Laboratory (JPL) della NASA ont annonce lundi que l’on dénombre à ce jour cinq mille exoplanètes dans notre carnet d’adresses cosmiques. Et ce n’est qu’un début. De nouveaux télescopes en cours de construction promettent d’élargir considérablement cet échantillon au cours de la décennie.
Trente années de découvertes
Il n’y a encore pass si longtemps, on ne dénombrait qu’un petit nombre de planètes connues, toutes en orbite autour de notre Soleil. Tout un cambiamento it 1992, avec la première découverte planétaire confirmée. Dans la rivista Natura, gli astronomi Alex Wolszczan et Dale Frail soulignaient avoir isolé deux mondes en orbite autour d’un pulsar (un cadavre d’étoile denso in rotazione rapida). Trois ans plus tard, une équipe annonçait la découverte d’une première planète autour d’une étoile semblable au soleil.
Toutes ces exoplanètes ont été repérées grâce à la méthode de la vitesse radiale, qui mesure les faibles oscillations (mouvements de va-et-vient induits par la gravitation) des étoiles générées plan de la présès. Les mondes plus grands étaient alors plus facils à isoler, car ils provoquaient de plus grandes oscillations. Pour dénicher des mondes plus petits, semblables à la Terre, les astronomes ont développé une autre méthode : celle du «transit», qui vise à mesurer de minuscules fluttuations de lumière lorsqu’une planète.
L’astronomo William Borucki fut l’un des premiers à développer cette méthode en travaillant sur il telescopio spaziale Kepler. Lance en 2009 avant de prendre sa retraite en 2018, l’osservatorio est à l’origine de la découverte de plus de 2 700 exoplanètes à ce jour. Toutes les données recueillies « de son vivant » n’ont pas encore été analysées. Aussi, d’autres mondes se cachent peut-être encore dans ces archives.
De nombreux autres instruments ont rejoint la chasse aux planètes depuis le lancement de Kepler. Citons notamment le spectrographe HARPS, installé à l’observatoire La Silla (Chili), o encore TESS, lancé dans l’espace en 2018.
5 000 esopianeti confermati
Au cours de ces dernières années, les découvertes se sont donc accumulées. Gli archivi di esopianeti della NASA sont hébergées au California Institute for Technology (Caltech). Pour être ajoutées au catalog, ces planètes doivent être confirmées indépendamment par au moins deux méthodes différentes et les travaux doivent être publiés dans une revue à comité de lecture.
Ce lundi 21 marzo, ce catalogo a registrato un nuovo lotto di 65 esopianetile portante nombre de mondes officiellement connus à cinq mille. Parmi eux figurent de pettes planètes rocheuses comme la Terre, des géantes gazeuses plusieurs fois plus grandes que Jupiter o encore des « Jupiter chauds » qui évoluent très près de leurs étoiles. On dénombre égallement des «super-Terres», qui sont des mondes rocheux plus grands que le nôtre, et des «mini-Neptunes», des version plus petites de Neptune de notre système.
Sur la base de cet échantillon, les astronomes estiment qu’il pourrait y avoir tra 100 e 200 miliardi di pianeti da notte di galassie. Aussi, la ricerca se poursuit. Les télescopes en cours d’opération seront bientôt si unisce agli autres instruments de nouvelle génération.
Le telescopi spaziali romain Nancy Grace, dont le lancement est prévu en 2027, fera de nouvelles découvertes en utilisant diversi metodi. La missione ARIEL de l’ESA, lancée en 2029, se concentrera sur les atmosphères des exoplanètes, tout comme le James Webb Telescope qui doit entamer ses premières osservazioni dès cet été.