Même si Emmanuel Macron ne l’a pas évoqué lors de sa conférence de presse, c’était une mesure attendue en matière de mobilité. Le «projet présidentel pour la France» d’Emmanuel Macron prévoit de «permettre l’accès à des véhicules propres pour dépenser moins, consommer moins avec une offre de leasing pour des véhicules électriques». « Ce dispositivo va aiutante à Sortir des véhicules carbonés, tout en protégeant le pouvoir d’achat », curriculum l’équipe de campagne du président-candidat.
I concepteurs du program travaillent donc depuis plusieurs semaines, avec des buildeurs automobiles et des loueurs, sur la mise en place d’un mécanisme de location longue durée (leasing) de véhicules électriques réservé aux ménagesé pends de modeses. L’objectif est d’offrir, dès 2023, grâce au soutien de l’Etat, 100 000 voitures pour moins de 100 euros par mois en passant par des partenaires privés (l’idée d’une agence d’Etat n’a pas été retenue).
Busta da 50 milioni di euro nel 2023
« Passer de la possession à l’usage… C’est la bonne méthode pour parvenir à une transition automobile socialement accettabile», souligne Jean-Marc Zulesi, vice LRM des Bouches-du-Rhône, un des référents mobilité de la campagne macroniste. Un véhicule électrique est aujourd’hui 60 % plus cher que son equivalente thermique (une Renault Zoé par rapport à une Clio), même en déduisant les aides gouvernementales. Trois publics sont visés : les jeunes, les professionnels du socio-medical et le grand public sous condition de ressources.
Dans la première année, en 2023, les auteurs du program ont prévu une enveloppe de 50 million d’euros pour financer les 100 000 voitures, de préférence made in France (en particulier en ce qui concerne les processeurs et les batterie). Cela peut sembler modeste si on compare avec les 38 million de voitures du parc auto français et avec les 6,7 million de véhicules (neufs et d’occasion) achetés l’an dernier par des particuliers, mais, du côté rappniste, Le défi questo è il momento del rappresentante per l’industria francese e per essere presente, dans un premier temps, senza fare ricorso a veicoli di viaggio.
M. Macron n’est pas le seul candidat à proponer une aide active à la transition automobile. A sa droite, ni Eric Zemmour ni Marine Le Pen non si prendano cura dell’elettrificazione, e Valérie Pécresse se contente de vouloir accélérer l’implantation de bornes de recharge. A sa gauche en revanche, Jean-Luc Mélenchon veut faciliter les usages partagés de la voiture, Yannick Jadot souhaite développer le Ammodernamento (transformation des moteurs thermiques en électriques), et Anne Hidalgo prevedono un « leasing sociale » pour voitures électriques très proche du dispositif macroniste.
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