Trois chercheurs ont analysé les rapports administratifs des compagnies BP, Shell, Chevron et Exxon Mobil publiés de 2009 a 2020, ainsi que les déclarations de leurs direttiants et leurs dépenses. Risultato: il esistere un « décalage » (mancata corrispondenza) entre les discours sur les énergies propres et la réalité.
En clair, ces quatre compagnies ne posent pas les gestes concrets qui seraient nécessaires pour répondre à leurs promesses de transitions vers les énergies propres. En 2020, autant BP que Shell ont promis d’être carboneutres en 2050 (c’est-à-dire avoir réduit suffisamment leurs emissions de gaz à effet de serre pour être capaci de les compenser par des activités telles que la plantation d ).
Elles utile certes plus souvent qu’avant des mots-clefs tels que « climat » « transizione » et, en anglais, poco contenuto di carbone. Per esempio, dal 2009 al 2020, dans les rapports de BP, “changements climatiques” è passato da 22 a 326 occorrenze. Mais dans l’ensemble, ces compagnies demorent, financièrement, autant engagées qu’avant dans les énergies fossiles.
« L’ampleur des investissements et des actions ne corrisponde pas aux discours », écrivent les trois chercheurs japonais. L’étude est parue le 16 février dans la rivista PLOS Uno. Une studio separato dell’Agenzia internazionale per l’energia stimata per il 2020, gli investimenti e le energie verte delle grandi compagnie petrolifere e dei giornali corrispondenti all’1% delle spese totali.
L’esempio le plus frappant est celui des investimenti dans de nouveaux projets d’extraction des carburants fossiles. BP e Shell ont promis de réduire ces investimenti. Dans les faits, ils ont augmenté la superficie des surface des forages ces dernières années. Tout au plus les deux compagnies européennes —BP et Shell— ont-elles davantage reconnu la scienza del clima che le due compagnie americane.
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