La parole commence à se libérer, notamment grâce aux réseaux sociaux, avec le lancement du hashtag #MeTooGarçons, a expliqué vendredi Emmanuelle Pitt, présidente du Collectif féministe contre le viol.
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Lors de sa création il y a trois ans, la Commission indépendante sur l'inceste et la violence sexuelle contre les enfants (Ciivise) a ouvert une ligne téléphonique 24 heures sur 24 pour entendre les victimes d'abus sexuels dans l'enfance. Lors de sa mise en œuvre en 2021, 4 % des appels étaient passés par des garçons, et aujourd'hui, 20 % d'entre eux sont témoins de la ligne.
L'expression est devenue particulièrement libre grâce aux réseaux sociaux, avec le lancement du hashtag #MeTooGarçons, a expliqué vendredi 1er mars au micro de France Culture Emmanuelle Pitt, présidente du Collectif féministe contre le viol, qui anime la hotline. “Les garçons ont besoin d'endroits pour parler, c'est ce que permet #MeTooBoys.”Souligne. Elle condamne également Emmanuelle Pitt, médecin de la protection de la mère et de l'enfant en Seine-Saint-Denis. « Des stéréotypes stupides selon lesquels les filles sont les victimes et les garçons les agresseurs. »qui ne part pas « Il n’y a pas assez d’espace pour que les garçons puissent se qualifier de victimes. ».
Les hommes s'expriment plus librement, mais le nombre de garçons victimes n'a pas encore été évalué. “Puisque nous ne leur avons pas encore donné la parole.”“, explique Emmanuel Pitt. Elle fait également référence à A “se retirer” De la communauté : “On ferme Ciivise, et on se dit : 'On a assez entendu les victimes, tais-toi.' Le président de la République se dit ami des délinquants sexuels, donc il veut arrêter les persécutions.”, elle croit. “Nous verrons comment cela évolue. »
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