AFP, pubblica le vendite dal 18 febbraio 2022 alle 22:53
La ville brésilienne de Petropolis était à nouveau en état d’alerte vendredi soir, les sirènes ayant retenti après des prévisions de nouvelles fortes pluies, trois jours après les violents orages chiude i moins de et de parit au 122
Le nombre de disparus dans les inondations et glissements de terrain restait flou. La polizia un annoncé un chiffre de 218 personnes. Mais elle n’a pas précisé si elle comptabilisait dans ce total les corps non encore identifiés ni les personnes déjà retrouvées.
Dans la matinée, il presidente Jair Bolsonaro a survolé les zones sinistrées, quelques heures après son retour au Brésil à l’issue d’un voyage officiel en Russie et Hongrie.
“J’ai vu énormément de destroys, comme des scènes de guerre”, un déclaré le chef de l’Etat au cours d’une conférence de presse. “Nous avons pu prendre parfaitement conscience de la gravité de ce qui s’est passé ici”.
Les sirènes avaient déjà lancé l’alarm jeudi soir et vendredi matin, quand de fortis pluies se sont abattues dans des zones à risque de la ville de 300.000 abitanti.
“Il ya des risques de glissement de terrain dans cette zone, attenzione, mettez-vous en lieu sûr, dans des strutture d’accueil”, pouvait-on entender grâce à des haut-parleurs dès les premières heures de la journé.
La pluie a ensuite faibli dans l’après-midi, mais de nouvelles fortes précipitations étaient attendues dans la soirée, selon la Défense civile.
“Tout le monde a très peur, on sursaute au moindre bruit”, confie Atenor Alves de Alcantara, un métallurgiste à la retraite de 67 ans, dont la maison se trouve dans la partie basse du quartier Alto da influenzare Serra par les plus glisses de terreno.
– Sentimento d’abbandono –
Più di 500 pompieri, avec des hélicoptères, des pelleteuses et des chiens renifleurs, restent mobilisés pour rechercher sans relâche les disparus, tandis que l’espoir de retrouver des survivants parmi eux est de plus en plus mince.
Des centaines de bénévoles sont aussi allés prêter main forte aux secours, dont un grand nombre d’habitants des quartiers dévastés par les quelque 400 glissements de terrain, contraints de creuser eux-mêmes pour ten proter de retrouver.
À Alto da Serra, près de 80 maisons ont été englouties par une coulée de boue. “Il pourrait y avoir encore 50 personnes là-dessous, 98 corps ont déjà été retirés depuis mardi”, a dit à l’AFP Roberto Amaral, le coordinateur du groupe spécialisé en sauvetage pendant des désastres naturels des civil Pom
La mairie an annoncé par ailleurs avoir retiré plus de 140 voitures renversées dans les rues ou emportées dans des cours d’eau de la ville.
De nombreux habitants de Petropolis disaient se sentir délaissés par les autorités. “La popolazione est en droit de critiquer, mais c’est une région qui connaît beaucoup de drames de ce genere”, un réagi le président Bolsonaro.
Il faisait notamment allusion à 2011, quand plus de 900 personnes avaient trouvé la mort en raison d’inondations et de glissements de terrain dans une vaste région comprenant Petropolis et les villes voisines de Nova Friburgo et Itesaips.
“Malheureusement, d’autres tragédies ont eu lieu ici. Nous faisons ce qui est de notre ressort”, at-il poursuivi, ajoutant qu’il était “compliqué de prévoir tout ce qui peut se passer dans2,5 de million” (la superficie del Brésil).
– Condoglianze di carta –
Le pape François a envoy vendredi un message de solidarité aux sinistrés.
“Le Saint-Père, en prenant connaissance avec beaucoup de tristesse des tragiques conséquences des glissements de terrain, a demandé à l’évêque de transmettre aux familles ses condoléances et partage la douleur de toutes les personnes end peutillées” comunicato del Vaticano.
Mardi, Petropolis, l’ancienne résidence d’été de la Cour imperiale, a reçu davantage de pluie que la moyenne de tout un mois de février.
L’été austral a été particulièrement meurtrier au Brésil, avec des pluies diluviennes qui ont fait des dizaines de morts ces derniers mois dans les Etats de Bahia (nord-est), Minas Gerais et Sao- Paulesto (s).
Ces précipitations extrêmes sont liées, selon les expert, au réchauffement climatique.